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Première princesse métisse de l’histoire de la famille royale britannique, Meghan Markle a été confronté au racisme, parfois conscient, parfois involontaire, de plusieurs membres de la dynastie des Windsor.

Ni il n’y a pas seulement eu l’affaire des spéculations douteuses sur la couleur de l’enfant du prince Harry et Meghan Markle, révélée par le couple en mars 2021, durant leur célèbre interview à Oprah Winfrey. Harry et Meghan (née d’un père blanc et d’une mère noire) ont eu affaire à d’autres problèmes de racisme au sein de la famille royale britannique, comme le révèle le troisième épisode de Harry & Meghan, leur série documentaire produite par Netflix.

Le couple revient sur l’affaire de la broche « Blackamoor ». Elle implique Marie-Christine von Reibnitz, devenue « princesse Michael de Kent«  en 1978, lorsqu’elle épouse le cousin germain de la reine Élisabeth II, Michael de Kent. En 2017, lors du déjeuner annuel de Noël de la reine Elisabeth II (qui se tient pour la première fois en présence de Meghan Markle), la princesse Michael de Kent de présente arborant une broche « Blackamoor ». Le bijou polémique représente le buste d’une esclavage noire. Épinglée par la presse américaine pour racisme et attaque directe à Meghan Markle, la princesse Michael de Kent fait présenter ses excuses par son porte-parole, tout en ajoutant que le bijou en question n’avait jamais « offensé personne » par le passé.

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Le prince se confie sur « Nazi Harry »

Dans cet épisode de Harry & Meghan, le couple n’accable pas la princesse Michael de Kent, mais profite de l’affaire pour parler des biais racistes inconscients présents chez chacun. « Il y a beaucoup de préjugés inconscients. C’est un travail constant sur soi que tout le monde doit faire, moi y compris », reconnaît le prince Harry.

Une déclaration qui lui permet ensuite de s’exprimer pour la première fois publiquement sur l’affaire « Nazi Harry », surnom donné par les tabloïds britanniques après que le prince s’est présenté à une soirée déguisée dans un uniforme de IIIe Reich, alors qu’il était adolescent. « C’est sûrement l’une des plus grosses erreurs de ma vie. J’ai eu tellement honte après ça », confie-t-il. « Je voulais juste me rattraper. » Suite à cette grave erreur, le prince Harry avait rencontré le grand rabbin de Londres, avant de se prendre rendu à Berlin pour écouter le témoignage d’un survivant de la Shoah.

Crédits photos : Backgrid UK/ Bestimage

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Début d’année tout sourire pour le couple de Sussex qui vit en Californie, à Montecito, avec leurs deux enfants, Lilibet et Archie.

Meghan Markle et le prince Harry ont quitté la famille royale en janvier 2020. Désireux d’être financièrement indépendants, ils ont signés de juteux contrats avec Netflix et Spotify et ont fondé leur propre fondation baptisée Archewell à but non lucratif.

Radieuse, Meghan Markle affiche son soutien à son mari alors que les Invictus Games vont débuter. Des jeux qui avaient dû être annulés l’année passée à cause du Covid-19.

C’est le prince Harry qui a fondé les Invictus Games, à son retour de l’armée. Une compétition multisports pour soldats et vétérans de guerre blessés et personnes en situation de handicap en 2014. Malgré sa mise en retrait de la Firme, le prince Harry se montre très investi.

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