Ce lundi 24 octobre, Emmanuel Macron a rencontré la Première ministre italienne à Rome. L’occasion pour Gala.fr pour de s’intéresser à Giorgia Meloni, tout juste investie à la tête de son gouvernement.
Ce lundi 24 octobre, Emmanuel Macron a rencontré la nouvelle Première ministre italienne, Giorgia Meloni, investie à la tête du gouvernement l’avant-veille. Une rencontre que les chefs d’État ont organisée à Rome (Italie) et en privé pour des raisons « politiques et idéologiques » selon France Info. Le « clivage » entre le libéral et la politique dite d’extrême droite est « grand », soulignent nos confrères. Née dans une famille militante, la première femme à diriger l’Italie a été soutenue par les siens dans son aventure politique. Un parcours qui débute au Mouvement social italien (MSI), une mouvance de la droite nationaliste et néofasciste, créée après la Seconde Guerre mondiale.
Sa mère, Anna Patore, qui en était une fidèle partisane, l’y encourage. Les deux femmes, qui partagent les mêmes idées, sont toujours très proches. Elles se téléphonent presque tous les jours. « Je ressens un besoin physique de l’appeler et son opinion est l’une de celles que je crains le plus », a ainsi déclaré Giorgia Meloni. Sa sœur aînée, Arianna, est tout aussi à droite qu’elle. Son beau-frère, Francesco Lollobrigida a d’ailleurs contribué à fonder le parti Fratelli d’Italia à la tête duquel Giorgia Meloni est arrivée au pouvoir. La devise de la nouvelle Première ministre ? « Dieu, patrie, famille« .
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Giorgia Meloni et son compagnon de « gauche »
Autour de Giorgia Meloni, ce sont les hommes qui penchent à gauche. Son père d’abord, homme absent, expert-comptable communiste, qui a abandonné sa famille pour vivre en Espagne. Son concubin depuis sept ans ensuite, Andrea Giambruno, 41 ans. « Mon compagnon est de gauche (…) Nous parlons des gays, des sujets éthiques, de la légalisation des drogues douces. Nous n’avons pas les mêmes idées« , confiait-elle en 2018 en évoquant le père de sa fille. Une affirmation dont se défend d’ailleurs le paternel de Ginerva, six ans. « C’était une blague, je ne suis pas de gauche », insistait-il récemment dans les colonnes de Corriere della Sera. « C’est juste que nous avons des divergences sur certaines questions éthiques, comme le suicide assisté », précisait-il alors.
Crédits photos : Avalon/Panoramic/Bestimage
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