Critiqué ce 12 janvier sur Twitter d’être un « militant anti-Véran« , Gérald Kierzek a répondu à cette attaque. L’occasion pour le médecin urgentiste de défendre à nouveau ses positions sur le variant Omicron.

Après s’être saisi de son compte Twitter, le 11 janvier dernier, afin de diffuser des vidéos dans lesquelles il informe ses abonnés que le variant Omicron ne serait “qu’un simple rhume”, Gérald Kierzek a été victime de nombreuses critiques sur la Toile. À commencer par celle du journaliste politique Dominique de Montvalon qui, ce 12 janvier, a indiqué que le médecin urgentiste serait devenu un militant anti-Véran.

Le Dr Kierzek était jusqu’ici un consultant estimé, écouté, respecté.Mais qu’est-ce qui s’est passé ? Le voici qui, se banalisant, est maintenant devenu un militant anti-Véran« , peut-on lire. Une remarque qui n’est pas passée inaperçue aux yeux du principal intéressé qui s’est alors justifié. “Toujours factuel : omicron est benin, la crise hospitalière est structurelle, on doit soigner tout le monde sans discrimination (déontologie)”, lui a alors rétorqué le directeur médical. Car à l’instar de son confrère Martin Blachier, le professionnel de la santé n’est pas alarmiste au sujet de la forte contamination des au variant Omicron et se veut rassurant.

Tjs factuel : omicron est benin, la crise hospitalière est structurelle, on doit soigner tout le monde sans discrimination (déontologie),…

Un variant bénin ?

« On dit beaucoup qu’Omicron est moins grave et c’est vrai. Il y a des cas de contaminations, mais quand ce sont des symptômes assez simples et qu’il n’y a pas d’hospitalisations, c’est l’essentiel« , avait-il expliqué dans sa vidéo, avant de poursuivre au sujet des symptômes : « Alors quels sont ses symptômes ? C’est un variant qui attaque essentiellement la sphère ORL, c’est-à-dire que ça va attaquer le nez, la gorge. Vous allez éternuer, avoir des maux de tête, avoir une fatigue, éventuellement de la fièvre, mais ça reste surtout localisé au niveau de la tête et ça ne descend pas sur les poumons.”

Pourtant, même si les nouvelles semblent être rassurantes, Gérald Kierzek a toutefois estimé que cela “ne veut pas dire qu’il n’y a pas de formes qui peuvent être graves, notamment chez les patients qui sont très fragiles ou très âgés”.

Crédits photos : Christophe Chevalin / LCI

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