Ce mercredi 3 février, Léa Salamé a lâché une phrase osée, face à Vald, alors qu’elle était en direct sur France Inter. Ce n’est cependant pas la première fois que la compagne de Raphaël Glucksmann connaît un moment de gêne à l’antenne…

C’est ce qu’on appelle les aléas du direct. Ce mercredi 3 février, Léa Salamé a reçu le rappeur Vald dans la matinale de France Inter. Au cours de cet entretien, l’acolyte de Nicolas Demorand s’est sentie quelque peu gênée au moment de prononcer les paroles osées de la nouvelle chanson de son invité. Mais elle ne s’est pas dégonflée pour autant. Il faut dire que ce n’est pas la première fois que la journaliste, qui officie également sur France 2, connaît un moment de gêne à la télévision ou à la radio. En août 2013, celle qui travaillait encore pour la rédaction d’i>Télé, devenue CNews, a vécu un léger malaise, pensant à tort que son micro était éteint.

Alors que Pascal Praud était en train de lui parler depuis le plateau de son émission 20h foot, la compagne de Raphaël Glucksmann, qui n’était pas encore à l’image, a lâché : « J’ai fait péter le décolleté« . Une remarque qui aurait bien évidemment pu passer inaperçue, sauf que son micro était bel et bien ouvert. Pascal Praud a tenté tant bien que mal d’alerter sa collègue : « Oh… Je crois qu’on vous entend chère Léa« , a-t-il commenté, avant de reprendre le fil de l’émission comme si de rien n’était : « Vous allez pouvoir nous donner des informations sur ce que nous verrons à 20h30. » Peu de temps avant que la page de publicité ne soit lancée, Léa Salamé a compris qu’elle était à l’antenne, caméra et micro branchés. Un brin trop tard visiblement…

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Léa Salamé rappelée à l’ordre

En octobre dernier, Léa Salamé a reçu Jean-Luc Mélenchon dans l’émission On est en direct diffusée sur France 2. Au cours de cette interview avec le candidat à la présidentielle, la journaliste a affirmé qu’il « y a des quartiers où les islamistes ont pris le pouvoir aujourd’hui en France. » Si l’information a été réfutée par le chef de file de La France Insoumise, son interlocutrice a conclu l’échange, peu convaincue, par un « si vous le dites… » Dès lors, le Conseil de Déontologie Journalistique et de Médiation (CDJM) a été saisi à sept reprises, trois d’entre elles accusant reprochant à Léa Salamé d’avoir employé un ton « irrespectueux » et « agressif« . Dans son verdict, dont Télé 7 Jours s’est fait l’écho ce jeudi 3 février, le CDJM a estimé que « les journalistes sont libres du ton et du style qu’ils adoptent, choix qui relève de l’éditorial, même si on peut déplorer qu’il varie en fonction des interlocuteurs« , même s’il a reconnu que les plaintes étaient « partiellement fondées« .

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