Mariée depuis dix ans avec l’écrivain Maxime Chattam, la présentatrice a préféré évoquer elle-même le sujet en toute transparence…

Chaque après-midi, dans Ça commence aujourd’hui, sur France 2, elle écoute avec empathie, compréhension et humanité les confidences et les histoires souvent très personnelles de ses invités, anonymes ou personnalités connues… Un rôle d’amie, de conseillère attentive avisée dans lequel excelle Faustine Bollaert, qu’elle endosse aussi avec brio dans La Boîte à secrets, sur France 3, auprès des célébrités qu’elle y invite !

L’épouse de l’écrivain Maxime Chattam, généralement discrète sur son parcours et les drames de son existence, vient pourtant de lever en partie le voile sur sa vie privée, à l’occasion de son émission Les temps changent du 4 octobre, qui avait pour thème l’amour au cours des 50 dernières années. Un vécu personnel et familial que l’on pensait jusque-là idyllique tant la jolie brune donne l’apparence d’une femme ayant accompli brillamment son parcours de mère et d’épouse.

Hélas, dans le passé de Faustine, une blessure secrète réside et résiste. Une douleur indélébile. Une souffrance qu’elle aura éprouvée indirectement et qui concernait l’autrice de ses jours « Ma mère a vécu Mai 68 et a embrassé cette liberté de bon coeur, vient de confier l’animatrice dans Nous Deux. Elle a surtout eu le courage de divorcer de mon père dans les années 80. Pendant toute ma jeunesse, elle m’a expliqué à quel point le divorce était mal perçu, même auprès de sa propre famille. Elle s’est sentie exclue pendant très longtemps à cause de son statut de divorcée »

Il s’avère bien ardu pour Faustine d’oublier ces années pénibles au cours desquelles elle a vu sa maman adorée souffrir et être montrée du doigt comme la méchante de l’histoire. Très marquée par les difficultés vécues à l’époque par sa mère, la jolie quadra s’est donc intéressée à la condition de celles qui ont courageusement tourné le dos à un mariage malheureux pour tracer d’autres chemins : « J’ai appris que, dans les années 70, l’adultère était passible d’une peine de prison pour les femmes, alors que les hommes n’écopaient que d’une simple amende », a aussi expliqué cette mère de deux enfants, Abbie, 9 ans, et Peter, 7 ans.

Les temps changent

De son côté, rassurez-vous, le duo qu’elle forme avec son époux depuis de nombreuses années fait montre d’une solidité à toute épreuve… « Nous sommes un couple complémentaire avec des postes interchangeables, a-t-elle encore assuré dans les pages de notre confrère. Mon mari peut s’occuper aussi bien des enfants que de la maison. C’est ce qui s’appelle une parité parfaite ! » Eh oui, heureusement que, comme l’énonce si bien le titre de son programme sur France 2, les temps changent !

Clara MARGAUX

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