Ce mardi 16 novembre, Faustine Bollaert anime un premier numéro du nouveau magazine sociétal ‘Les temps changent’, en prime sur France 2. Elle y évoque des thèmes de société parfois très durs, comme ce soir avec la pédocriminalité. Des sujets difficiles qu’elle aborde parfois avec ses enfants, comme elle l’a confié en évoquant l’éducation d’Abbie et Peter.

Aux commandes de Ça commence aujourd’hui, Faustine Bollaert démarre ce mardi 16 novembre un nouveau prime : Les temps changent. L’animatrice y aborde des sujets de société parfois très difficiles comme ce soir avec la pédocriminalité. À l’heure où les mentalités bougent de plus en plus sur de nombreux thèmes de société, celle qui partage sa vie avec son époux Maxime Chattam évoque l’éducation de leurs enfants, Abbie et Peter, 7 et 5 ans respectivement.

« En tant que maman, je pense avoir une parole plus libre qu’elle ne l’était à l’époque de mes parents« , fait savoir Faustine Bollaert aux cours de rares confidences à Télé-Loisirs. « Je mets un point d’honneur à décrypter avec eux l’actualité et le monde. Il n’est jamais trop tôt pour expliquer et aborder des sujets difficiles comme celui de la pédophilie« , continue-t-elle. Elle aimerait grâce à ce magazine évoquer de nombreux sujets et permettre de faire bouger les mentalités. « Après l’enfance abusée, j’aimerais ensuite traiter le thème de la transidentité, puis celui de la famille « , a-t-elle ajouté.

L’angoisse du « temps qui passe »

C’est rare que l’épouse de l’écrivain ne se livre sur sa vie famille. En 2017, elle l’évoquait pour Nous Deux. « J’essaie au maximum de passer le mercredi avec mes enfants et de travailler de chez moi le lundi pour faire le ménage et les courses, comme tout le monde, a-t-elle fait savoir. Mes enfants ont la chance d’avoir un papa qui travaille à la maison« . Son mari et elle partagent de nombreuses passions avec Abbie et Peter, comme la lecture et l’appétence pour le fantastique. En 2019, Faustine Bollaert révélait avoir quelques angoisses notamment celle du temps qui passe. « La peur du temps qui passe, de ce que je ne verrai pas de mes enfants. J’ai une angoisse aussi, une panique, du jour où mes enfants n’auront plus besoin de moi, quand ils partiront de la maison. Une fois qu’on n’est plus animateur, qu’on n’est plus maman, quand on se retrouve vraiment avec soi, c’est une angoisse chez moi« , avait-elle confié.

Crédits photos : AGENCE / BESTIMAGE

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