Ce mardi 22 février 2022, Nathalie Lévy reçoit Pierre Niney dans son émission culte, En Aparté sur Canal plus. Fidèle à lui-même, le comédien a surpris l’animatrice d’une drôle de façon…
Le trophée des César est-il en or ? Récompense d’excellence depuis 1976, la statuette dorée intrigue bien des acteurs, à commencer par le talentueux Pierre Niney. Invité d’En Aparté sur Canal plus ce mardi 22 février, le comédien de 32 ans a donné quelques sueurs froides à l’animatrice Nathalie Lévy. Curieux de découvrir si cette pièce polie représentant un homme pouvait prendre feu, l’interprète d’Yves Saint-Laurent a tout simplement tenté de l’enflammer, en direct : « Depuis tout à l’heure j’ai envie de faire un truc d’enfant, vraiment c’est une bêtise…Mais je crève d’envie de mettre ça dans le feu « , a-t-il avoué avant de se diriger vers la cheminée la plus proche et d’y plonger le trophée.
Prise au dépourvu, l’ex-présentatrice de BFMTV tente, non sans humour, de dissuader l’ancien pensionnaire de la Comédie Française : « Non ! Mais pas du tout, on va s’arrêter là…Non parce qu’il faut qu’on le rende. Sortez-le de là s’il vous plaît, j’appelle la police« . Mais amusé, Pierre Niney ne se presse pas pour récupérer la statuette d’entre les flammes et s’attarde : « justement, je sens que ça va vous mettre un tout petit peu dans la merde… et j’ai un petit peu envie de voir. Je vous ai dit que c’était un truc de gosse ». Satisfait de son geste, le compagnon de Nathalie Andrews récupère la statuette et constate les dégâts : « Vous voyez, il est chaud mais il sent le brûlé. Qu’est-ce que c’est cette matière ? Ah oui, il ne faut pas le brûler… », constate-t-il. Un poil trop tard…
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Pourquoi le trophée s’appelle César ?
Constitué de cuivre et non d’or, le trophée estimé à 1 500 € selon l’Internaute doit son nom au sculpteur César Baldaccini. En 1976, l’artiste élabore la première statuette « qui deviendra le Saint-Graal pour tous les professionnels du cinéma français », à la demande de son ami Georges Cravenne, souligne France Culture. Le journaliste lui attribue alors, le prénom de son ami « court et percutant », rappelant au passage celui des Oscars. Par respect pour le sculpteur, il a été convenu que César ne prendrait jamais de « s » au pluriel, contrairement à nos voisins. Pas question de « rabaisser son patronyme au rang de nom commun ».
Crédits photos : capture canal +
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