À 85 ans, le célèbre chanteur a retrouvé l’amour avec une ravissante Japonaise…

Le bonheur d’être à deux, l’harmonie conjugale, l’indicible joie de se sentir aimer, et d’aimer en retour, l’interprète d’Enfants de tous pays n’y croyait plus depuis le 23 décembre 2008. Ce triste jour, Suzy Leyris, sa femme adorée, épousée en 1962, décédait, emportée par une maladie cardiaque chronique.

Malgré quatre opérations à cœur ouvert, cette terrible pathologie avait hélas fini par engloutir Suzy, le grand et unique amour d’Enrico. Cette compagne solaire, fille du musicien Cheikh Raymond, fut aussi la mère aimante de Jocya et Jean-Claude, les deux enfants du célèbre chanteur respectivement nés en 1964 et 1969.

Rayon de soleil

La perte de sa femme, il l’avait vécue comme un tsunami intime, une tragédie abyssale. L’artiste, définitivement dévasté, portait donc le veuvage depuis près de quinze ans. Inconsolable, il se rendait régulièrement au cimetière parisien de Pantin, pour se recueillir et déposer des fleurs sur la tombe de sa Suzy… Et pourtant, en cette fin d’année 2023, qui aurait pu croire qu’une autre femme allait réchauffer le cœur si meurtri du musicien ? Ce rayon de soleil, authentique miracle de la vie, se nomme Natsuko.

D’origine japonaise, cette délicieuse inconnue semble aussi discrète que ravissante. Son élégance, sa tendresse, et sa gentillesse ont fait craquer l’artiste natif de Constantine, qui, à 85 ans, s’en est épris comme un jeune homme de 20 ans ! Présentés par des amis communs, ils sont unis depuis un an, sans pour autant vivre ensemble. Le 11 décembre dernier, Enrico a pourtant tenu à officialiser cette belle romance en invitant Natsuko au théâtre Déjazet, à l’occasion du concert destiné à fêter ses 85 ans.

Sous les regards émus de Chantal Goya, Michel Boujenah, Gérard Darmon, mais aussi de son petit-fils Symon, Enrico, les yeux noyés d’émotion, a présenté Natsuko, qu’il surnomme affectueusement « la femme du reste de ma vie »…

Christian NARBRIÈRE

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