Dans une interview à retrouver dans le magazine Elle, jeudi 17 février, Éric Zemmour lève le voile sur le rôle que pourrait avoir sa collaboratrice, Sarah Knafo. En cas de victoire, la jeune conseillère qu’il estime être « l’âme de sa cette campagne » aura bien sa place à L’Élysée…

Pour le meilleur et pour le pire. Du haut de ses 28 ans, Sarah Knafo n’est autre que le pilier d’Éric Zemmour, dans cette campagne présidentielle. Compagne du polémiste à la tête du parti Reconquête, l’ambitieuse énarque n’est autre que la directrice stratégique de la campagne du journaliste de 63 ans. Et en cas de victoire, l’ancien époux Mylène Chichportich ne compte pas laisser la magistrate sur le côté, au contraire. Dans un entretien accordé au magazine Elle, à retrouver en kiosque ce jeudi 17 février, le polémiste évoque le futur prometteur de sa collaboratrice, au Palais : « J’ai déjà dit qu’elle était l’âme de cette campagne. Elle continuera à l’être à l’Élysée, évidemment« , concède le candidat, accompagné de sa compagne lors de cette interview.

S’il est élu président de la République, le père de Clarisse, Hugo et Thibault Zemmour, réservera donc une place particulière, à sa jeune conseillère Sarah Knafo. Obtiendra-t-elle le rôle de première dame ? Difficile de le savoir pour l’heure. Et si l’essayiste se fie les yeux fermés à sa jeune compagne, Eric Zemmour peine encore à séduire l’électorat féminin. D’après un sondage Ifop, mené pour le magazine Elle, 66% des Françaises « auraient peur pour leurs droits s’il était élu ». Un dur constat que le patron du parti Reconquête déplore dans cet entretien : « Les femmes ont tort d’avoir peur, je suis le plus répressif et c’est ça qui va les protéger« , assure-t-il.

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Eric Zemmour : « Ce qu’il y a de féminin en moi ? Beaucoup de choses »

Interrogé sur sa part de féminité, le polémiste décrié pour ses propos misogynes et ses positions envers le mouvement #MeToo, se plie à l’exercice : « Ce qu’il y a de féminin en moi ? Beaucoup de choses : la sensibilité littéraire, une certaine fragilité, une émotivité que je ne domine pas toujours, mais que j’essaie de ne pas montrer », confie le candidat. Et s’il met régulièrement en avant, la charge virile du pouvoir, Éric Zemmour assure défendre une virilité « au sens de vertu, de détermination, de courage, est une qualité essentielle ».

Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage

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