Au coeur de tous les débats en cette rentrée politique, Sandrine Rousseau ne laisse personne indifférent. Y compris au sein des écolos, où certaines critiques se font entendre…
Elle fait partie des personnalités politiques les plus clivantes. Pointée du doigt pour ses récentes sorties sur le barbecue – « un symbole de virilité » – ou encore sa volonté de créer un délit de « non-partage des tâches ménagères« , Sandrine Rousseau connaît une rentrée plus qu’agitée : pas un jour sans qu’une de ses déclarations ne provoque un débat électrique sur les réseaux sociaux et les chaînes d’infos. Un goût du buzz que la députée de la Nupes juge particulièrement utile pour ses combats, même si cela lui vaut quelques inimitiés chez les écolos.
« Elle s’aime beaucoup et prépare les prochaines échéances nationales…« , accuse par exemple un parlementaire de son groupe dans Le Parisien. Tout en reconnaissant l’utilité de ses prises de position et son « sens politique » : « Il faut une Zemmour de gauche, compare cet élu. Elle a raison de vouloir gagner la bataille culturelle. C’est aussi à ça que la Nupes devrait servir… On a abandonné à la droite et l’extrême droite les thèmes et les débats politiques.«
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Michel Sardou s’en prend à Sandrine Rousseau
Preuve que tout le monde parle désormais de Sandrine Rousseau : Michel Sardou s’est récemment emporté contre elle sur le plateau de Touche pas à mon poste. « Sandrine Rousseau, qui te dit qu’il faut supprimer la chasse parce que les féminicides sont faits avec des calibres 12 (…) Il faut quand même être con !« , a-t-il pesté sur C8. Un nouveau coup de pub que la députée a peut-être apprécié…
Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage
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