La fille de l’actrice et de Guillaume Canet a 4 ans et fréquente déjà les plateaux de tournage. Dans le nouveau numéro de Marie Claire, Marion Cotillard, bientôt à l’affiche du film Annette, s’est confiée sur sa vie, entre moments en famille et plateaux. Deux univers qui se mélangent parfois.
Alors qu’elle est en plein tournage du nouveau Astérix et Obélix, réalisé par son compagnon Guillaume Canet, Marion Cotillard tente de garder un peu de temps pour leurs enfants, quitte à les emmener avec elle au travail. Mise à l’honneur lors du prochain Festival de Cannes, dans le film Annette, de Leos Carax, aux côtés d’Adam Driver, l’actrice s’est confiée dans le nouveau numéro de Marie Claire. Elle y explique notamment que ses enfants «détestent venir sur [ses] films». Sa petite Louise, 4 ans, aurait ainsi été déstabilisée lors de la visite d’un studio il y a deux ans. «Elle m’a posé une question qui m’a d’abord fait rire, puis qui m’a fortement interrogée : « Elle est où maman ? » m’a-t-elle demandé. J’ai trouvé cela très révélateur.» Touchée par cette interrogation, Marion Cotillard a vite compris pourquoi sa fille avait eu cette réaction. «Il y a une vibration différente de soi quand on tourne, même entre les prises, on n’est pas dans le même état que d’habitude», ajoute-t-elle.
En vidéo, « Annette », la bande-annonce
Une famille d’acteurs
Si la petite Louise est encore peu à l’aise sur les plateaux, ce ne serait pas le cas de son grand frère, Marcel, 10 ans. En effet, le samedi 10 avril, Guillaume Canet avait confié dans les colonnes du Journal du Dimanche, que son fils pourrait peut-être apparaître au casting d’Astérix et Obélix : l’Empire du Milieu. «Astérix, c’est mon rapport à mon père. Il avait beaucoup d’albums, je les lisais. Aujourd’hui, c’est mon fils qui les lit et les apprécie», a expliqué l’acteur et réalisateur. Si l’on sait que sa compagne prendra les traits de Cléopâtre dans le long-métrage, Guillaume Canet n’a pas encore définitivement confirmé la présence de son fils au casting. Peut-être faudra-t-il guetter chaque scène dans l’espoir d’apercevoir le petit Marcel.
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