Dans le nouveau Paris Match, paru le 4 novembre 2021, l’état de santé de la reine Elizabeth II est passée au crible. Sept mois après la mort du prince Philip, nos confrères évoquent l’humour de ce dernier, qui ne manquait jamais au devoir de remonter le moral de sa reine.

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Des souvenirs impérissables. Depuis la mort du prince Philip le 9 avril 2021, les aficionados de la famille royale britannique sont inquiets. Et si la reine Elizabeth II n’y résistait pas ? Après un mystérieux séjour à l’hôpital pour des examens préliminaires, nombreux sont ceux qui se demandent si la monarque de 95 ans, désormais privée de l’homme qui l’accompagnait depuis 82 ans, ne serait pas en train de flancher. Et pour cause, bien qu’elle affiche fréquemment le sourire protocolaire qu’on lui connaît, la reine d’Angleterre accuse le coup d’une année mouvementée, marquée par les révélations de Meghan Markle et du prince Harry mais aussi par l’enquête qui visait son fils Andrew. L’occasion pour nos confrères de Paris Match d’évoquer le soutien infaillible qu’apportait le duc d’Edimbourg à sa reine, avec toujours une touche d’humour.

Des moqueries « en allusion à ses bouches permanentées »

Lorsqu’une nouvelle rumeur ou polémique tentait de faire flancher la couronne, et sa reine dans la foulée, le prince Philip a toujours eu les mots pour rattraper son épouse en vol : « Il désamorçait ses angoisses et ses coups de cafard d’un trait d’esprit, d’une simple blague, n’importe laquelle, cruelle, tendre ou dans le genre militaire », peut-on lire. En effet, le prince Philip avait l’habitude de taquiner la reine Elizabeth II, notamment sur ses tenues protocolaires qu’il surnommait le « fourbi royal ». Mais ce n’est pas tout.

Le père de Charles, Anne, Andrew et Edward avait également tendance à piquer son épouse au vif en évoquant son âge. « Il l’aida aussi à vieillir, tout particulièrement quand elle atteignit la soixantaine. […] Il lui donna des « ma petite saucisse », puis, en allusion à ses bouches permanentées alignées au cordeau comme sur les perruques Louis XVI, « ma petite tête de chou-fleur », expliquent nos confrères de Gala. Des surnoms moqueurs, parfois humiliants, qu’elle préférait prendre avec sagesse, convaincue qu’ils dissimulaient un amour infini que le prince n’aurait jamais avoué pour un empire.

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