Mary-Kate Olsen vient de déposer sa demande pour mettre fin à son mariage avec Olivier Sarkozy. Débutée en 2012, l’idylle entre l’homme d’affaires et la comédienne avait beaucoup fait parler d’elle. D’ailleurs, en septembre 2014, la fameuse bague de fiançailles à la jeune femme avait semé le trouble dans la presse britannique. Quand on découvre son prix, on comprend pourquoi…

Dès la réouverture des tribunaux new-yorkais, ce lundi 26 mai, Mary-Kate Olsen s’est empressée d’acter son divorce avec Olivier Sarkozy, le demi-frère de l’ancien président de la République. Après avoir été déboutée de sa demande de procédure express, la jeune femme, mariée depuis 2015 au banquier de 17 ans son aîné, s’était réfugiée auprès de sa sœur jumelle Ashley dans une villa somptueuse et hors de prix. Un divorce qui s’annonce éprouvant pour la comédienne, devenue créatrice de mode, qui cherche avant tout à préserver sa fortune astronomique.

Il faut dire que Mary-Kate Olsen n’a jamais caché son train de vie aisé, et Olivier Sarkozy y était sans doute pour quelque chose. D’ailleurs, à l’époque, le prix de la bague de fiançailles offerte par l’homme d’affaire à sa dulcinée avait suscité de nombreuses spéculations dans la presse britannique. Il s’avère que la bague massive que Mary-Kate Olsen portait à son doigt est une Cartier vintage de 1953 qui a été achetée lors d’une vente aux enchères de bijoux chez Sotheby’s, à New York, selon une source proche du dossier, comme le rapportait sur son site Style Caster, en 2014.

Un prix exorbitant

Alors que la bague appartenait à l’origine à un collectionneur de bijoux basé au Tennessee, elle était initialement estimée entre 40.000 $ et 60.000 $ par Sotheby’s. Finalement, le somptueux bijou s’est vendu pour 81.250 $. Une somme extrêmement élevée quand on sait que le prix moyen pour s’offrir une bague de fiançailles aux États-Unis est de 5.431 $. Contacté par Style Caster, Sotheby’s a refusé de dévoiler si la bague avait été acheté par Mary-Kate Olsen elle-même ou si Olivier Sarkozy l’avait déboursé. Quand on aime, on ne compte pas…

Crédits photos : GTRES / BESTIMAGE

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