On s’en souvient rarement, mais Didier Bourdon a tourné dans un film de Ridley Scott en 2006, où il donnait la réplique à Russell Crowe. Les deux acteurs ont gardé le contact, comme le raconte l’ancien membre des Inconnus à Voici ce 17 juin.
Didier Bourdon
Russell Crowe
Pour une fois, ce n’est pas dans les salles obscures ou sur les planches que l’on retrouve Didier Bourdon ! L’artiste a sorti un album, Le Bourdon, le 11 juin dernier. Si cette aventure musicale a pu décontenancer, ce n’est pourtant pas la première fois qu’il surprend son public. Membre du mythique trio des Inconnus, star de nombreuses comédies françaises, Didier Bourdon a aussi vécu une expérience américaine ! C’était il y a déjà 15 ans : en 2006, l’acteur avait joué dans le film Une grande année, réalisé par… Ridley Scott ! Il y incarnait alors Francis Duflot, un vigneron qui aider à attendrir le trader américain Max Skinner (Russell Crowe), de retour en France pour un héritage. Il s’agit de son unique film avec des Américains, comme il le confie à Voici ce 17 juin : « Moi, j’ai toujours préféré être fort en France que faible ailleurs. On les a vus ceux qui ont voulu aller à l’extérieur. Les Etats-Unis, ils s’en foutent un peu des uns et des autres, même s’ils ont des Oscars, explique-t-il. Mais quand on voit Lupin aujourd’hui, on constate que ce n’est pas impossible de faire une série qui se vende à l’étranger ».
Didier Bourdon a gardé le contact avec Russell Crowe
De cette rencontre avec le monde d’Hollywood, Didier Bourdon a gardé des liens. Avec Ridley Scott, mais aussi avec Russell Crowe. Francophile (il est notamment un grand fan de Zaz), l’acteur néo-zélandais aime discuter avec son camarade français. « Ça fait deux ou trois ans que je ne l’ai pas vu, mais à chaque fois qu’on se croise, ça se passe super bien, raconte Didier Bourdon dans Voici. Mis à part que je ne parle pas parfaitement anglais et que Russell a un accent australien, alors qu’il est néo-zélandais. »
Si Didier Bourdon a un anglais très correct et n’a aucun souci pour parler avec Ridley Scott et des personnes avec un accent british, comprendre tout ce que dit Russell Crowe est plus compliqué : « Dès qu’on picole un peu, il parle de plus en plus vite. C’est une souffrance, parce qu’il est super intéressant comme mec, mais je n’ose pas le faire répéter. Et ne pas tout comprendre, ça gâche le truc. Vivement qu’on ait une puce qui traduise directement, comme dans Matrix. » En attendant, il doit se contenter d’essayer subtilement de le faire parler un peu plus lentement.
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