Dans sa story Instagram, Diam’s a fait de rares confidences sur sa dépendance aux médicaments. En voulant arrêter son traitement subitement, la rappeuse a dû être hospitalisée.
En 2012, après avoir enflammé le rap français pendant près d’une décennie, Diam’s annonçait la fin de sa carrière artistique. Sept ans plus tard, Mélanie Georgiades a fait l’une de ses rares apparitions médiatiques, en accordant un entretien à la chaîne Arab News. Au cours de cette interview, l’ancienne acolyte de Vitaa est revenue sur sa conversion à l’Islam, et sur l’apaisement qu’elle est parvenue à trouver.
Pendant des années, l’interprète de La boulette a lutté pour venir à bout de ses démons, à commencer par son addiction aux médicaments. Dans sa story Instagram, l’écrivaine de 39 ans est revenue sur ce long combat. « Il est vrai que je ne me suis pas attardée dessus dans mon livre [Diam’s, Autobiographie, ndlr] mais avant ma conversion à l’islam, je me suis retrouvée avec 9 cachets à prendre par jour », a-t-elle expliqué à ses 88 000 abonnés. Si elle assure qu’elle ne « s’en sortait pas », la rappeuse était néanmoins « convaincue qu’une vie normale était possible sans tous ces traitements ».
« J’ai fini dans une ambulance »
Diam’s a alors tenté de « tout arrêter d’un coup ». « J’ai fini dans une ambulance. Le choc était trop violent », a-t-elle ajouté. Mélanie Georgiades a finalement pu compter sur l’aide d’un psychiatre, qui lui « a indiqué comment cesser progressivement chaque médicament ». Selon l’ex-chanteuse, « si les cachets donnent l’illusion de supporter une vie difficile, il n’en reste pas moins qu’une fois les gens sevrés, les problèmes de fond persistent ». « Le sevrage n’est qu’une première étape » vers la guérison pour l’interprète de Confessions nocturnes, qui se sert aujourd’hui de son propre parcours pour apporter son soutien à ses fans.
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