Sur Twitter, la société de production ALP a rappelé aux téléspectateurs que menacer les candidats de Koh-Lanta est passible « de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende ». La justice a été saisie.

Aux grands maux les grands remèdes. Sur Twitter, ce lundi 27 avril, la société de production ALP – accablée par un ancien candidat – a dévoilé un communiqué à travers lequel elle indique saisir le procureur de la République de Paris pour les propos et menaces dont ont été victimes plusieurs candidats de Koh-Lanta notamment à la suite du départ de Sam, l’un des chouchous des téléspectateurs.

Sur ce communiqué, on peut lire : « Ces faits sont passibles de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende. Une enquête sera être ouverte pour identifier les auteurs et engager des poursuites ». La production tient aussi à rappeler aux téléspectateurs de faire preuve de recul vis-à-vis du programme. « Koh-Lanta est un programme familial et il est intolérable que ses concurrents aient à faire face à un tel déversement de haine. ALP sera vigilant au respect de chacun et engagera des actions judiciaires à chaque fois que cela sera nécessaire ».

« On peut vivre cette aventure avec respect »

Ce samedi 25 avril, Denis Brogniart avait d’ores et déjà été contraint de prendre la défense des candidats en question parmi lesquels Inès et Régis. « Je m’associe aux aventuriers de Koh-Lanta pour condamner le plus fermement les insultes inqualifiables reçues de manière anonyme par certains d’entre eux sur les réseaux sociaux. On peut vivre cette aventure devant son écran avec passion et respect », implorait Denis Brogniart sur Twitter pour condamner notamment les internautes qui ont écrit à Régis pour menacer directement les enfants du père de famille.

#COMMUNIQUE ALP va saisir le procureur de la République de Paris pour les propos et menaces dont ont été victimes plusieurs concurrents de #KohLanta pic.twitter.com/fb1HO4Ohtf

Crédits photos : SIPA

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