Début mars, le prince Harry se confiait au docteur Gabor Mate sur sa consommation de drogues passée. Ces révélations avaient par la suite été présentées par le journaliste Piers Morgan comme une raison valable pour les États-Unis de mettre fin à son visa. Mais selon un avocat américain, le fils de Charles III n’aurait pas à s’inquiéter.
Des révélations qui auraient pu lui coûter sa vie de famille. Dans ses mémoires, Le Suppléant, puis lors d’un entretien diffusé sur Zoom avec le docteur Gabor Mate, spécialiste en traumatismes liés à l’enfance, le prince Harry a révélé qu’il avait consommé de nombreuses drogues dans le passé. Sans filtre quant à la fréquence de ces consommations et à ses effets, le fils de Charles III s’était vu pointé du doigt par ses détracteurs. Le journaliste Piers Morgan, particulièrement hostile aux Sussex, avait même suggéré que l’époux de Meghan Markle pourrait perdre son visa américain à cause de ces confidences.
Mais à en croire James J. Leonard, avocat de nombreuses célébrités américaines interrogé par The Mirror, le père d’Archie et Lilibet Diana n’aurait rien à craindre. “Je n’envisage aucun scénario viable dans lequel les révélations d’un mémoire sur l’utilisation de drogues expérimentales et récréatives pourraient avoir des conséquences sur le statut d’immigrant du prince Harry”, s’est-il étonné dans le tabloïd anglais, alors que des centaines de Britanniques sont chaque année interdites de séjour aux États-Unis en raison de leur toxicomanie.
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Le dossier de visa du prince Harry bientôt dévoilé ?
Celui qui a notamment représenté Joe Giudice, de la série Real Housewives of New Jersey, a toutefois précisé que le prince pourrait être inquiété si ses consommations se trouvaient liées à des activités criminelles. “Là où cela deviendrait un problème absolu, c’est s’il y avait une affaire criminelle quelconque et si ces allégations étaient liées à la drogue ou à l’alcool et qu’il était établi qu’il était un consommateur habituel”, a expliqué le pénaliste dans la presse, ajoutant qu’il ne pensait pas que c’était le cas du frère cadet du prince William.
La réputation du prince Harry a toutefois pris un coup avec ces révélations. The Heritage Foundation, un cabinet de lobbying américain exerçant un rôle important dans la conception des politiques publiques, a notamment demandé à l’administration des États-Unis que le dossier de visa de l’intéressé soit rendu public.
Le but ? S’assurer que le fils de Lady Diana n’a pas bénéficié d’un traitement de faveur car il est un membre de la famille royale britannique. Car pour toute demande, une enquête sur les potentielles addictions de chacun est menée. Mais cette requête a peu de chance d’aboutir. “Les dossiers de visa sont confidentiels en vertu de la section 222(f) de la loi sur l’immigration et la nationalité. Par conséquent, nous ne pouvons pas discuter des détails des cas individuels de visa”, a déclaré le porte-parole du département d’État américain.
Crédits photos : Backgrid UK/ Bestimage
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