Difficile de trouver la volonté de prendre soin de soi en pleine période de confinement. Heather Locklear, enfermée chez elle avec sa fille Ava, préfère en rigoler.

Cette période de pandémie du Covid-19 est une catastrophe pour la planète entière. Mais elle donne aussi lieu à de jolies surprises. Sur les réseaux sociaux, par exemple, certains ont pu assister au grand retour d’Heather Locklear, disparue d’Instagram depuis le mois d’août 2019 – à l’exception de quelques rares photos de sa fille. Elle a d’ailleurs fait appel à cette dernière, Ava, afin de se filmer pour passer un message fort. « Cette période est un challenge pour tout le monde, explique-t-elle. Mais tout d’abord, je tiens à remercier les premiers intervenants, les personnes qui livrent les courses, les docteurs, les infirmières, tous ceux qui nous aident, les banquiers, tous ceux qui travaillent en prenant des risques.« 

Interrompue par son chien Mister, la comédienne de 58 ans a ajouté un trait d’humour à cette profonde tirade. Pointant du doigt sa chevelure en pagaille, Heather Locklear s’est réjouie du retour de son iconique look des années 1990. « Je tenais à vous signaler que les racines d’Amanda Woodward sont en vie et, bon, je crois qu’il va tous falloir qu’on apprenne à vivre avec, poursuit-elle. Les femmes, mais aussi quelques hommes. » À l’époque, les créateurs de Melrose Place avaient pensé à toutes les histoires les plus improbables de l’univers, écrivant des intrigues hallucinantes, ressuscitant allègrement des personnages – coucou Marcia Cross. Mais jamais ils n’auraient pu imaginer un tel scénario.

Il faut dire que – sans mauvais trait d’esprit –, le confinement, ça la connait ! Ces dernières années, Heather Locklear a davantage cumulé les mugshots que les apparitions sur tapis rouge. En août dernier, elle a carrément échappé de peu à la prison. Écrouée suite à sa condamnation pour huit chefs d’accusation – dont six incluant coups et blessures à l’encontre des forces de police -, elle a hérité d’un séjour de trente jours en établissement psychiatrique et de trois ans de liberté conditionnelle, période durant laquelle elle ne pourra posséder ni arme, ni médicaments sans prescription, ni alcool. Ça de plus ou ça de moins…

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