Confiné à Paris avec sa fille et le chat de cette dernière, Eddy Mitchell vient d’avouer à un magazine télé qu’il profitait de ce temps libre imposé pour renouer avec une passion qui l’a longtemps consumé et fait gagner pas mal d’argent dans les années 80 et 90.
La dernière fois qu’Eddy Mitchell donnait de ses nouvelles, c’était en duplex dans C à vous le 3 avril dernier. Devant ce qui ressemble à une bibliothèque, le crooner avouait vivre un confinement au calme avec sa fille et son chat. Un animal de compagnie qui avait fait mourir de rire Anne-Elisabeth Lemoine et ses équipes en passant plusieurs fois devant la caméra du Schmoll avec sa collerette posée par un vétérinaire et l’empêchant de se gratter. Lors de cet entretien, Eddy Mitchell avouait ne pas avoir la fibre créatrice et n’arrivait pas à écrire. « Je pense surtout aux aides-soignants, aux docteurs, aux gens qui vendent les journaux, les pharmaciens, déclarait le chanteur… Je suis admiratif de tous ces gens-là et j’espère que cet élan de solidarité se poursuivra après ce drame » Un optimisme salué par les équipes de C à vous et les téléspectateurs qui n’avaient pas manqué de demander des nouvelles du chat incontrôlable pendant le direct…
Ses dernières séances
C’est dans les colonnes de Télé Câble Sat qu’Eddy Mitchell vient de réapparaitre à l’occasion de la diffusion de L’Agent immobilier sur ARTE, une minisérie dans laquelle le chanteur donne la réplique à Mathieu Amalric. « J’aime beaucoup ce mec, confie le Schmoll. C’est quelqu’un de direct, franc et entier. Comme comédien, il n’en fait pas des tonnes. » Toujours confiné à Paris, l’ex-acolyte de Johnny Hallyday et Jacques Dutronc des Vieilles Canailles avoue avoir renoué avec d’anciennes amours. « Je regarde des films anciens comme Au pays de la peur avec Stewart Granger », déclare l’interprète de Rio Grande qui – de 1982 à 1998 – animait La dernière séance sur France 3. Une émission qui faisait la part belle aux films américains des années 30 aux années 60. En plus de renouer avec cette passion vintage, il en profite – aussi – pour découvrir des œuvres plus récentes et locales. Sa dernière… séance : « Le film La Belle Epoque de Nicolas Bedos, une ancienne teigne devenue bon metteur en scène. » L’intéressé appréciera l’hommage, peut-être moins le surnom.
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