Claire Borotra est l’héroïne de la nouvelle série de France 3, » Face à face « , dont la diffusion commence ce mardi 15 mars. Fille du ministre Franck Borotra, cette comédienne, qui est également scénariste, a débuté sa carrière il y a presque 30 ans. Pourtant c’est avec une autre actrice qu’on la confond souvent, comme elle le révèle dans le magazine Gala.
Dans la première saison de Face à face, la nouvelle série de 12 épisodes que propose France 3, ce mardi 15 mars, Claire Borotra campe une juge tendance psychorigide, Justine, qui doit faire équipe avec une flic, Vanessa (Constance Gay), qui se révèle être sa demi-sœur.
Dans un entretien que l’actrice accorde au magazine Gala, en kiosque le jeudi 17 mars, elle avoue s’amuser que, dans la rue, on la confonde souvent avec une autre actrice. Une comédienne blonde aux yeux clairs, comme elle, une quadra également, qui porte le même prénom et partage aussi un amour pour le Pays basque où la première a passé ses vacances d’enfant et y vit aujourd’hui une partie de l’année, quand l’autre s’y est installée avec le père de sa fille. Il s’agit de Claire Keim, la compagne depuis 2006 de Bixente Lizarazu.
Son père, Franck Borotra, a été ministre dans les années 90
Claire Borotra et Claire Keim, voisines donc dans le Sud-Ouest et copines, viennent d’ailleurs de tourner ensemble (et enfin) un téléfilm dans lequel elles sont sœurs (Maman a disparu). Mère de deux enfants, qu’elle a eus avec son ex-compagnon, le comédien Jérôme Anger, Claire Borotra est issue d’une famille célèbre. Son père, Franck Borotra, a été ministre dans les années 90, sous le gouvernement Juppé ; son oncle, Didier Borotra, homme politique, a été sénateur et maire de Biarritz pendant plus de 20 ans ; son grand-oncle, Jean Borotra, homme politique également, a été un joueur de tennis légendaire, l’un de ceux que l’on appelait les « Quatre mousquetaires » et qui se sont illustrés dans les années 20 et 30.
De cette célèbre ascendance, Claire Borotra a surtout hérité le sens du travail. Un goût de la dialectique, aussi. » Enfant, je me souviens que mon père travaillait énormément, mais quand on le voyait, chacun défendait son point de vue avec passion. On existait par la pertinence de nos désaccords ou de nos accords avec lui « , révèle-t-elle dans le magazine Gala, en kiosque le 17 mars. Sans oublier celui de la discrétion. » Même si j’ai le souvenir d’avoir assisté toute gamine à de nombreux meetings, assise sur les genoux de Jacques Chirac par exemple, mon père n’a jamais cherché à nous mettre en scène, au contraire, il nous protégeait beaucoup. « , déclare-t-elle.
L’intégralité de l’entretien à lire dans le magazine Gala, en kiosque le 17 mars 2022.
Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE
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