Interviewé dans l’émission de Daphné Bürki « Je t’aime, etc. » en janvier 2019, Christophe Willem avait confié une folle anecdote concernant une activité pratiquée dans sa jeunesse.

Né le 3 août 1983 à Enghien-les-Bains, dans le Val-d’Oise, Christophe Willem souffle aujourd’hui ses 39 bougies. Grand gagnant de la 3e édition de la « Nouvelle Star », le jeune homme a fait du chemin depuis sa victoire dans la célèbre émission de M6. Artiste accompli, le chanteur dévoilait récemment un tout nouveau single. Son prochain disque, quant à lui, devrait débarquer le 16 septembre 2022. « Cet album est un exutoire, il est extrêmement intime parce que j’étais sans aucune retenue », expliquait-il lors d’une interview accordée à Karima Charni sur sa chaîne Youtube.

Au cours de cet entretien, l’interprète du titre « PS : Je t’aime » ajoutait avoir « beaucoup hésité avant de choisir son nom ‘Panorama’ ». Et s’il a finalement opté pour ce mot, c’est pour « deux raisons. La première c’est que c’est un album qui fait le tour de toutes les questions. Je vais sans détour sur mon adolescence, mon rapport à la sexualité, les rapports aux médias, au regard des autres. Donc il y a ce côté : faire le tour de la question. » La seconde, « c’est que mes parents habitaient dans une rue et souvent, quand j’étais jeune et que j’avais des moments compliqués, j’allais me promener en haut de leur rue. La rue s’appelle ‘Rue du Panorama’ parce qu’on avait un panorama sur tout Paris. Donc c’était une rue dans laquelle j’aimais bien me retrouver seul ».

« Il y avait tout un troc »

En effet, Christophe Willem n’a pas eu une enfance facile. Victime de harcèlement scolaire, l’acolyte de Slimane n’a jamais caché que cette période de sa vie avait été un véritable « cauchemar ». Pourtant, l’artiste garde tout de même quelques bons souvenirs de sa jeunesse. Notamment l’époque où il faisait du trafic de films X à l’école. Interviewé dans l’émission de Daphné Bürki « Je t’aime, etc. » en janvier 2019, celui que Marianne James surnommait « La Tortue » expliquait que les cours de sciences n’étaient pas assez explicites à son goût. Il avait donc choisi de faire sa propre éducation sexuelle en regardant des films pornographiques. « Ma génération apprenait comme ça », expliquait-il à l’époque. « Moi, à l’école, je faisais du deal. J’enregistrais les films de cul que je revendais ensuite. Il y avait tout un troc ». Une sacrée anecdote !

V.B

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