Au début des années 1980, Christophe disparaît des ondes. Treize années durant, le chanteur passionné, et notamment par les jeux d’argent, dilapidera sa fortune. « Financièrement à sec » au moment de sa rupture avec Véronique Bevilacqua en 1996, le Beau Bizarre parviendra cependant à se refaire rapidement, comme le relate Paris Match.
Succès n’est pas toujours synonyme de fortune. Christophe, décédé le 16 avril dernier des suite d’un emphysème, le savait mieux que personne. Toute sa vie durant, l’interprète d’Aline a dû non seulement composer avec ses partitions, mais plus encore avec ses passions destructrices sur le plan financier. Grand amateur de voitures et de juke-box, le chanteur se découvrira dans les années 1980 une passion pour les jeux d’argent, et notamment le poker. « On est joueur ou on ne l’est pas« , ironisait-il à ce sujet dans les colonnes de Paris Match.
Sans-le-sou après sa rupture avec Véronique, la mère de sa fille Lucie, Christophe parviendra malgré tout à se refaire. Au début des années 2000, « financièrement à sec« , il signe un contrat avec Universal, sous l’égide de Pascal Nègre. Concerts à l’Olympia, tournées… lui permettront de rapidement se renflouer. Pour autant, le Beau Bizarre peinera à oublier ses années de galère.
Johnny, son seul véritable ami
« Quand j’étais au fond du trou, personne ne m’a tendu la main. J’en suis sorti tout seul », déplorait l’ancien compagnon de Michèle Torr l’automne dernier. Seul Johnny Hallyday se montrera alors charitable à son égard, comme il le relatait en janvier 2010 à nos confrères de Télé 7 Jours. « Johnny est un vrai rockeur, d’une immense générosité. Il y a longtemps, on a pris une cuite ensemble et on a dormi, tous les deux, dans le même lit, sans être homos…. En me réveillant, j’ai découvert un chèque en blanc, qu’il avait laissé pour m’aider« . Infiniment reconnaissant envers le Taulier, Christophe n’aura de cesse, jusqu’à son dernier souffle, de l’encenser.
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