Après avoir porté plainte contre un anonyme qui l’a menacée de décapitation, Christine Kelly a appris que une enquête a été ouverte pour menaces de mort.
Une démarche radicale. Selon les informations du quotidien Le Parisien, une enquête préliminaire pour "menaces de mort" a été ouverte le 20 décembre à la suite d’une plainte de Christine Kelly, déposée contre X au mois de novembre 2021. Souvenez-vous, dans une publication choc partagée avec sa communauté Twitter, celle qui est aux commandes de Face à l’info sur CNews a révélé les menaces dont elle a été la cible et qui n’ont que prendre de l’ampleur en raison de la présence de Eric Zemmour sur son plateau. Celui-ci a pourtant été écarté de l’antenne au mois de septembre 2021.
Auprès des autorités, Christine Kelly a déclaré avoir été victime de "harcèlement téléphonique" en raison de plusieurs SMS inquiétants. La principale concernée a également sollicité un médecin généraliste parisien qui lui a prescrit dix jours d’incapacité totale de travail (ITT), se disant affectée psychologiquement. La brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de la police judiciaire parisienne a été chargée de l’affaire tandis que la plainte prend pour cible un certain Patrick K.
Christine Kelly placée sous protection
Fréquemment prise pour cible depuis qu’elle a pris les manettes de Face à l’info, les menaces se sont avérées trop dures à supporter pour Christine Kelly. Résultat, et comme elle le confiait sur le plateau de Touche Pas à Mon Poste, elle a été placée sous protection. "J’ai deux baby-sitters en permanence", a raconté celle qui a fait partie du CSA. "Ce qui est anormal c’est qu’au nom de quoi, en tant que journaliste, on doit recevoir des menaces de mort ? Comme si le fait de ne pas prendre position sur les plateaux était une erreur."
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