Déjà 8 mois que Christian Quesada est en détention provisoire à la maison d’arrêt de Bourg-en Bresse. L’ancien candidat des 12 Coups de midi a décidé de passer à l’action.

L’affaire Christian Quesada continue. Alors que l’ancien candidat des 12 Coups de midi a été mis en examen pour « corruption de mineur » et « détention d’images pédopornogeaphiques » le 27 mars dernier, les témoignages n’en finissent plus à son encontre. Ce jeudi 14 novembre à 21h15, C8 diffusera une nouvelle enquête au sujet de l’ex-maître de midi baptisé Christian Quesada : nouvelles révélations sur le champion déchu. Un documentaire qui apportera de nouveaux éléments, tout en annonçant que de nouvelles plaintes ont été déposées.

Si Christian Quesada est toujours en détention provisoire et placé en isolement, reste à savoir quand aura lieu son procès. En attendant, les révélations se succèdent de la part des victimes présumées, mais également de ceux qui l’ont côtoyé, comme un ancien ami d’enfance qui l’a connu à l’époque où il habitait dans une cité à Antony. Ce dernier va ainsi dévoiler dans la nouvelle enquête de C8 les premiers comportements déviants de l’ex-champion de TF1. Une retraitée expliquera également comment Christian Quesada lui soutirait de l’argent en utilisant ses enfants.

Christian Quesada réplique

Des révélations auxquelles assiste Christian Quesada en prison. Et selon son avocat commis d’office, Me Christophe Camacho, l’ex-maître de midi voit rouge. « Il assiste depuis sa cellule à un déballage médiatique […]. Il est en position de faiblesse car il ne peut pas répondre. Quesada, il ne peut pas faire comme Luc Besson qui va aller au 20 Heures pour répondre à des accusations », a-t-il révélé dans les colonnes du Progrès, tout en expliquant que « son client l’a mandaté pour ne plus rester sans réaction contre tout ce qui relève de la calomnie, de l’injure et de la diffamation. Ne plus laisser colporter ces propos sans réagir ».

Me Christophe Camacho a également confié au Progrèsavoir déjà mis en demeure « une chaîne de télévision de ne pas diffuser des témoignages manifestement diffamatoires. Notamment un soi-disant ami qui parle de leur enfance à Antony (Hauts-de-Seine) et une amie avec qui il est en conflit ». Pour le moment, l’enquête se poursuit et chaque témoignage est minutieusement examiné. Affaire à suivre.

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