Après sept années passées à New York, Charlotte Gainsbourg a regagné Paris en juin dernier. Dans les colonnes de Madame Figaro en kiosque ce vendredi 15 janvier, l’actrice et chanteuse révèle pourquoi elle a choisi de revenir en France.

A propos de

  1. Charlotte Gainsbourg

  2. Yvan Attal

  3. Ben Attal

La pandémie de coronavirus a bousculé la vie de nombreuses personnes, à travers le monde. Charlotte Gainsbourg fait partie de ces gens qui ont décidé de changer de vie… ou, d’une certaine manière, de retrouver celle d’avant. La comédienne de 49 ans, qui s’était installée dans une maison à New York avec ses enfants, en 2013, suite à la mort de sa sœur Kate Barry survenue le 11 décembre de cette année-là, a rebroussé chemin en juin dernier. Dans une interview accordée à Madame Figaro et publiée ce vendredi 15 janvier, la fille de Jane Birkin et Serge Gainsbourg explique pourquoi elle a choisi de poser ses cartons à Paris, dans le VIIe arrondissement. « En avril, New York était devenue cette ville déserte, de fin du monde, et j’ai eu un mouvement de panique », raconte la chanteuse, angoissée de nature. Et de poursuivre : « Je me suis dit : ‘assez de vivre tous séparés, j’ai besoin d’être avec Yvan, mon fils, ma mère, la mère d’Yvan. »

Il faut dire que depuis des années, Yvan Attal et Charlotte Gainsbourg entretenaient une relation à distance, avec son lot de difficultés. La mère de famille est alors rentrée en France, accompagnée de sa fille, Joe (9 ans), et a retrouvé son amoureux ainsi que leur fils aîné, Ben (23 ans). Quant à leur fille cadette, Alice (18 ans), elle est restée aux Etats-Unis, pour poursuivre ses études, logée dans un campus. Une famille (presque) au complet, pour leur plus grand bonheur.

Le calme avant la tempête

Au-delà de la propagation du Covid-19, c’est un climat très tendu qu’a quitté Charlotte Gainsbourg. En décembre dernier, dans les pages de Vanity Fair, elle décrivait le contexte social outre-Atlantique. « Nous sommes parties alors que les manifestations pour George Floyd venaient d’éclater », déclarait-elle, tandis que dans l’Hexagone, « c’était le calme plat (…) si déstabilisant ». Une ambiance plus apaisée qui n’a cependant pas duré. « Et puis, maintenant, voilà qu’ici aussi, les choses se troublent », poursuivait-elle, en référence à l’assassinat du professeur Samuel Paty, à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), qui remonte au 16 octobre dernier.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias.

Crédits photos : JACOVIDES-MOREAU / BESTIMAGE

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