Ce lundi 1er mai, Jarry s’est rendu chez Europe 1, dans l’émission "Culture Médias", pour évoquer son passage dans "Rendez-vous en terre inconnue". Une expérience inoubliable, qui l’a profondément ému. L’humoriste n’a pas su retenir ses larmes lorsqu’il a évoqué un passage marquant du tournage.

Préparez les mouchoirs. Ce mardi 2 mai, Jarry est l’invité de Raphaël de Casabianca pour un nouveau numéro de « Rendez-vous en terre inconnu ». Un nouvel épisode, tourné au Groenland, dans lequel l’humoriste de 45 ans et l’animateur ont « cohabité » avec les Inughuit. Des « esquimaux polaires » avec qui l’ex-enquêteur de « Mask Singer » a noué des liens très forts. À tel point que ses adieux avec ses hôtes ont fait remonter de vives émotions chez lui.

En effet, invité chez Philippe Vandel pour l’émission « Culture Médias » sur Europe 1 ce lundi 1er mai, Jarry est revenu sur le tournage de « Rendez-vous en terre inconnue ». Et a reconnu que les adieux avaient été déchirants. « Les adieux, cela a été un des moments les plus compliqués de ma vie. C’était très dur. Moi, j’ai eu un coup de cœur pour Peter, un des quatre chasseurs qui m’a accueilli », a-t-il confié à la radio.

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Jarry craque face à Philippe Vandel

Peter a eu un rôle important pour lui tout au long du tournage. Notamment parce qu’il lui a rappelé une personne chère au cœur de l’humoriste : « La vie a fait qu’il avait beaucoup de points communs avec mon papa ». « Donc j’ai eu l’impression de passer 3 semaines avec mon père », raconte-t-il totalement bouleversé avant d’avouer : « Lui dire au revoir m’a donné l’impression de revivre un deuil pour la deuxième fois de ma vie et c’est extrêmement compliqué ». Son invité en pleurs, Philippe Vandel lui a même demandé de « sécher » ses larmes.

En plus de ce passage émouvant, les téléspectateurs vont aussi pouvoir découvrir un Jarry totalement perdu à l’approche d’une tempête de neige. Au micro des Buzz TV du Figaro ce lundi 1er mai, l’animateur et photographe, Raphaël de Casabianca a en effet indiqué : « Jarry craque un matin. D’ailleurs il craque tellement qu’à un moment donné il perd, je pense, la raison, et il y a une sorte de folie qui s’installe ».

Un énorme stress qui a même conduit l’artiste de 45 ans a oublié le nom de son acolyte : « il ne m’appelle pas Raphaël mais par un autre prénom. Je pense que le corps lâche, le mental lâche, et il se dit ‘mais je ne vais pas y arriver' ».

R.F

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