Dans une interview à « Vanity Fair », pour l’édition de mars 2020, Carole Bouquet revient sur les histoires d’amour qui ont marqué sa vie, notamment celle qui l’a liée neuf ans à Gérard Depardieu.

Pour son édition de mars 2020, Vanity Fair consacre sa couverture à Carole Bouquet. L’ancienne actrice de 62 ans s’est confiée sur ses relations amoureuses passées, au cours d’un long entretien. Elle revient notamment sur sa relation avec le sulfureux producteur de cinéma, Jean-Pierre Rassam.

Victime de nombreux démons, il aurait succombé à une overdose de médicaments en janvier 1985, à l’âge de 43 ans. « C’est un accident, ce qui s’est passé. Ni suicide ni overdose comme on l’a dit, on a raconté beaucoup de choses fausses. Il ne se ménageait pas, prenait du Gardenal pour se protéger des dégâts de l’héroïne. Mais après des années d’excès, le corps réclame sa dette« , explique-t-elle aujourd’hui. Une terrible fin qu’elle n’avait jamais vu arriver : « Je l’ai cru invincible, Rassam. C’était un phénix. Il renaissait. J’ai vraiment cru qu’on avait la vie devant nous. Je n’ai pas vu qu’il était en danger. »

Carole Bouquet garde toujours un tendre souvenir de l’homme qui lui a donné un fils, Dimitri (38 ans). « Ce sont des années qui ont changé ma vie. Des années extraordinaires que je souhaite à tout être humain. Je l’ai aimé plus que tout« , poursuit-elle.

Cette grande interview est l’occasion pour Carole Bouquet de revenir sur son histoire d’amour partagée pendant près de neuf ans avec Gérard Depardieu. Elle raconte comment leur amitié s’est transformée en amour. « J’avais une tendresse immense pour cet ami et une admiration infinie pour cet acteur, Gérard étant pour moi quelqu’un d’une puissance de jeu inégalée. Puis, un jour, il vivait seul, il s’était séparé, il aimait venir chez moi me raconter des histoires… J’étais seule aussi, je venais d’avoir 40 ans… Et je me mets à le regarder autrement. D’un ami merveilleux, je l’ai regardé comme un homme« , a-t-elle tendrement confié.

Retrouvez l’interview de Carole Bouquet en intégralité dans le dernier numéro de Vanity Fair.

Source: Lire L’Article Complet