Dans le dernier numéro de Paris Match, Camille Lacourt et sa compagne se livrent à coeur ouvert sur le combat contre le cancer de la jeune femme.

Elle avait bouleversé les internautes. Le 8 janvier dernier, Alice Detollenaere révélait qu’elle souffrait d’un cancer du sein et qu’elle venait de subir une opération. Un combat contre la maladie aujourd’hui remporté puisque la compagne de Camille Lacourt a récemment annoncé être totalement guérie. Dans le dernier numéro de Paris Match, paru ce jeudi 20 février, la jeune femme et l’ancien nageur reviennent sur cette terrible épreuve qu’ils ont affrontée à deux.

C’est en août 2019 qu’Alice Detollenaere, 32 ans, apprend qu’elle est atteinte d’un cancer du sein. À ce moment-là, la malheureuse est bouleversée et craint pour son couple. « Je me demandais si Camille me quitterait. Je ne voulais pas être un boulet, apporter le malheur dans sa vie et celle de sa fille », confie-t-elle au magazine hebdomadaire. Bien au contraire, Camille Lacourt apporte son soutien indéfectible à sa chérie et l’accompagne tout au long de son combat. « Il était hors de question que je la lâche« , lance-t-il à nos confrères.

Le 7 janvier dernier, le mannequin subit une ablation du sein, une opération chirurgicale appelée mastectomie, et se voit poser une prothèse. Là encore, Alice Detollenaere, qui retrouve rapidement le chemin des podiums, a peur du regard de son homme. « Ce qui m’inquiétait le plus n’était pas mon travail, mais mon couple. J’avais peur que ce sein dégoûte Camille », explique-t-elle. Des craintes vite dissipées par l’intéressé. « Pour moi, ce sein est juste différent. Il représente la force », déclare Camille Lacourt.

La famille de Camille Lacourt frappée par le cancer

Si l’ex-champion de la natation a plus que jamais soutenu sa compagne dans son combat contre le cancer, c’est aussi parce qu’il ne connaît que trop bien cette maladie. « Dans ma famille aussi, j’ai été confronté au cancer (…) Mon père est mort il n’y a pas très longtemps d’un cancer de la gorge. J’ai été la dernière personne à lui dire au revoir. J’ai aussi une tante maternelle qui est morte du cancer du sein à l’âge de 42 ans. Ma maman a eu un autre type de cancer et c’est moi qui lui ai rasé la tête au début de sa chimio. Je savais donc à quoi m’attendre », raconte-il à Paris Match.

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