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Invitée sur le plateau de C à vous, le jeudi 19 juin 2020, Roselyne Bachelot déplore le « relâchement » des Français face au coronavirus. Pour l’ancienne ministre de la Santé, la France risque de devoir faire un choix entre l’économie et la santé en cas de seconde vague de la pandémie.
- Roselyne Bachelot
La France va-t-elle se remettre de la pandémie du coronavirus ? En plus de devoir affronter la crise sanitaire, le pays s’apprête à faire face à une crise économique et sociale tout en se préparant à la tant redoutée seconde vague. Si certains font preuve d’optimisme en annonçant que la Covid-19 ne passera pas l’été, d’autres se montrent plus pessimistes. Invitée sur le plateau de C à vous, le jeudi 19 juin 2020, Roselyne Bachelot est revenue sur l’efficacité des masques. D’abord considérés inutiles contre la propagation de la Covid-19, ils sont très vite devenus indispensables, voire obligatoires pour tous.
Dans la foulée, l’ancienne ministre de la Santé évoque un nouveau confinement en cas de seconde vague. “Je pense qu’il y a trop de relâchement !”, lance-t-elle avant de déplorer :“En traversant Paris, c’est impressionnant ! Moi, j’ai vu des rues où il n’y avait pas une personne sur trente qui portait un masque parmi des groupes, des grappes humaines”. Si elle n’estime pas que les restaurants et autres salles de spectacle et de cinéma n’ont pas été ouverts “trop tôt”, elle déclare en riant jaune : “Vous avez vu les terrasses ? Elles ont tendance à…”. Pour autant, Roselyne Bachelot ne blâme pas “les restaurateurs qui essaient de faire marcher leurs boutiques”.
Entre le confinement pour lutter contre la propagation du virus et le besoin de rouvrir les commerces et autres activités économiques, l’ancienne chroniqueuse du Grand 8 analyse que la France se trouve dans une “situation inexplicable”. Désireuse de résumer en quelques mots le choix que doit faire le gouvernement entre la santé et l’économie si une seconde vague surgit, elle lance : “On est dans la merde !” Pessimiste elle tente toutefois de modérer ses propos : “Les solutions vont se trouver par une sorte de démarche simple, par l’expérience. On va peut-être tâtonner”. Une intervention qu’elle conclut, la tête baissée, par un : “On va s’en sortir”.
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