Bruno Solo donne de ses nouvelles. Confiné avec sa femme et ses enfants, le comédien de 55 ans est très inquiet. Parrain de l’association La Voix de l’enfant, l’acteur appelle le grand public à la plus grande vigilance contre les violences domestiques.

Bruno Solo a beau être confiné, il n’en oublie pas ses responsabilités. Calfeutré chez lui à Meudon, dans les Hauts-de-Seine, avec sa femme et ses enfants, l’acteur de 55 ans prend son mal en patience. Comme le rapporte Le Parisien, l’ancien comédien de Caméra Café mène désormais un quotidien entre séances de sport, courses, devoirs de ses enfants et dîners avec ses proches. Un retour à l’essentiel pour l’ex acolyte d’Yvan Le Bolloc’h sur M6 qui prépare toujours sa prestation pour la prochaine cérémonie des Molières, prévue le 11 mai prochain et décalée au mois de juin.

Et même s’il est également occupé à l’écriture d’un livre historique, il garde l’œil sur le monde qui l’entoure. Parrain de l’association La Voix de l’Enfant, Bruno Solo en a profité pour tirer la sonnette d’alarme dans les colonnes du Parisien. Le comédien s’est en effet dit très préoccupé par « les femmes et les enfants qui souffrent » et toutes les formes de violences domestiques durant cette période de confinement.

« C’est aussi notre devoir »

« Ma pensée la plus sincère et la plus forte va vers ceux pour qui le confinement prend un tour barbare, a-t-il confié. Moi, je suis avec ma femme et mes enfants, on a le devoir de ne pas se plaindre. C’est aussi notre devoir de taper à la porte et de demander ce qu’il se passe si on entend des cris sur le palier d’à côté; d’appeler le 119 si nécessaire. Il faut être vigilant. » Une prise de conscience importante en cette période de confinement même si Bruno Solo garde espoir lorsqu’il constate l’incroyable élan de solidarité depuis le début de la crise du coronavirus.

« On ne sait pas quand tout va reprendre, mais ce n’est pas l’essentiel. Il me semble que nous avons pris un peu plus conscience des autres, s’est-il félicité. On se rend compte, et ça nous saute au visage, à quel point ceux qui peuvent nous rendre la vie meilleure sont sollicités : les vendeurs, les caissiers, les infirmiers. Je leur dis chapeau. » Un sentiment partagé par des millions de Français.

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