Ce 25 janvier, Brigitte Macron a jugé très sévèrement la lenteur de la mise en place d’un véritable système efficace pour lutter contre le cyberharcèlement, afin d’éviter des drames comme celui qui est arrivé au petit Lucas.


Le drame du petit Lucas, 13 ans, qui s’est suicidé dans les Vosges début janvier après des moqueries permanentes et des insultes à caractère homophobe, a ému la France entière. Et Brigitte Macron, engagée contre le cyberharcèlement, est montée au créneau, ce 25 janvier, sur RTL. La première dame a expliqué qu’elle était furieuse face à cette situation qui n’avance pas assez vite.

« Il faut qu’enfin ils fassent ce qu’ils disent qu’ils vont faire« 

Face à Amandine Bégot, elle a rappelé d’abord : « Ce sont des drames absolus. Il y a ce qui existe, c’est le programme phare, ce sont les ambassadeurs, ce sont les élèves volontaires. La sensibilisation du personnel encadrant ou des professeurs pour qu’ils repèrent et qu’ils aident. Donc, il y a ce programme qui existe. Le 3020, pour le harcèlement à l’école, le 3018 sur le harcèlement par Internet pour essayer de supprimer les contenus. Parce que les plateformes disent qu’elles nous aident, mais c’est encore extrêmement insuffisant ».

Aujourd’hui, Brigitte Macron aimerait qu’on mette aussi plus de « focus sur la prévention« . Elle témoigne : « Je n’entends pas qu’elle existe, j’ai des petits-enfants, qui ont absolument tous les âges. Je les interroge et ils n’entendent pas grand-chose« .

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