Alors que la série HPI cartonne sur TF1, Alizé Lim a révélé dans Paris Match que son haut potentiel intellectuel lui jouait des tours dans sa vie, et notamment dans son couple avec Tony Parker.

Alizé Lim

Tony Parker

Des courts annexes de Roland-Garros à la une des gazettes, Alizé Lim a effectué un sacré bond dans la lumière. Son revers à deux mains est malheureusement étranger à cet élan de notoriété, l’ancienne 135e mondiale ayant remisé les raquettes au placard depuis plusieurs années. C’est aux bras de Tony Parker que la belle brune affronte la fameuse « petite mort » du sportif, l’accompagnant dans ses pérégrinations, de San Antonio (Texas), où ils vivent, jusqu’en France, terre des investissements de l’ancien basketteur. Mais la consultante souhaite exister par elle-même, et se verrait bien jouer la comédie, au moment où la série HPI, diffusée par TF1, se pose comme le phénomène télévisuel du moment. Un succès retentissant qui la renvoie à son quotidien puisqu’un haut potentiel intellectuel lui a été détecté dès l’âge de 8 ans. Depuis, la Franco-vietnamienne essaie d’apprivoiser ce sixième sens qui lui joue souvent des tours, tant dans sa vie personnelle que durant sa carrière sportive.

Des séances de psy avec Tony Parker

Si Alizé Lim a raconté son expérience dans un livre Eloge de l’inconditionnel, témoignage d’une zèbre sur le court, elle s’est échauffée dans Paris Match au cours d’un entretien où elle s’est livrée sur les troubles liés au fait d’être surdouée. « C’est comme faire un coming-out. J’avais peur des a priori ou que l’on pense que je me vante. Au final, ça m’a permis de me libérer de mes souffrances intérieures », explique-t-elle dans l’hebdomadaire.

Des aléas (problèmes de concentration, hyperactivité cérébrale, crises émotionnelles) difficiles à appréhender pour ses proches, et notamment son compagnon. « Je peux avoir des réactions exacerbées dues au trop-plein d’émotion. Pour qu’il me comprenne, je lui montre des vidéos qui expliquent le comportement des HPI« , a-t-elle confié, ajoutant que le couple se rendait régulièrement chez un psy pour mieux cerner cette singularité. Le revers de la médaille, diront certains.

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