La mort du frère d’Alexia Laroche-Joubert dans un accident de la route à seulement 25 ans n’est pas sans rappeler celle de son mari en 2003, des suites d’un accident de moto. Il avait 39 ans.

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  1. Alexia Laroche-Joubert

Il y a tristement comme un air de déjà vu pour Alexia Laroche-Joubert. L’ancienne productrice de Loft Story est de nouveau en deuil. Son petit frère de 25 ans, Andréas, a perdu la vie dans un accident de la route, ce dimanche 11 avril, a annoncé la brigade des Pompiers de Paris. Il y occupait le poste de Sergent. Un drame qui en rappelle un autre. Il y a près de 18 ans, c’est déjà dans un accident routier que l’ancienne directrice de la Star Academy avait perdu un autre des hommes de sa vie. Le 9 juillet 2003, son compagnon Ian-Philippe Blanc avait trouvé la mort dans un accident de moto dans le Xe arrondissement de Paris. C’est en rentrant chez lui après un dîner au restaurant que celui qui était patron de la maison de disques Warner Music s’était tué à moto. Il avait 39 ans et une fille avec Alexia Laroche-Joubert, Solveig. Le lendemain de l’accident, Le Parisien révélait que l’ancien patron de Mercury aurait perdu le contrôle de sa Kawasaki Z 1000 dans un couloir de bus, à la hauteur du 14 boulevard de Strasbourg, à proximité de la garde de l’Est. Prévenus peu avant une heure du matin, les pompiers avaient découvert Ian-Philippe Blanc « couché sur le sol, une jambe repliée sous la tête », mais conscient. Malgré les renforts du Samu, il serait tombé dans le coma avant de faire un arrêt respiratoire puis cardiaque. Sa mort avait été constatée vers 2 heures du matin.

À l’époque, Alexia Laroche-Joubert avait 34 ans, et leur fille Solveig seulement un an. Un traumatisme sur lequel la femme de télévision s’exprime rarement. Elle y avait cependant fait allusion au moment de rendre hommage à l’ancien candidat de l’émission 10 Couples parfaits Tom Diversy, mort après un accident de moto en 2018. « Pour avoir vécu la perte de mon mari d’un accident similaire, j’imagine la douleur de sa famille à qui j’adresse ma tendresse », avait réagi sur Twitter la productrice. Pour surmonter l’épreuve de la mort de son mari en 2003, Alexia Laroche-Joubert avait pu compter sur le soutien de sa mère, la reporter Martine Laroche-Joubert. La journaliste avait quitté Bagdad pour venir épauler sa fille. « J’ai appelé en pleine nuit la permanence de sa rédaction. Elle a tout traversé avec les dangers que ça pouvait supposer pour me rejoindre aussitôt », avait raconté dans Gala Alexia Laroche-Joubert en 2019. C’est dans le travail qu’elle s’était réfugiée pour ne pas sombrer.

Le travail « l’a sauvée » selon Valérie Damidot

« Elle était anéantie. Mais elle a réussi à tout gérer… Elle n’avait pas d’autres solutions que de reprendre le travail tout de suite. C’est ce qui l’a sauvée car Alexia n’est pas un bloc de titane. Au contraire, c’est une personne très sensible », avait confié fin mars son amie Valérie Damidot dans les colonnes du Parisien. « Elle affronte les difficultés personnelles et professionnelles avec pragmatisme. Les coups durs la galvanisent », expliquait l’un des amis d’Alexia Laroche-Joubert dans l’article du quotidien qui révélait qu’en 2003, c’est l’homme d’affaires Stéphane Courbit, qui était à l’époque le propriétaire d’Endemol France, dont elle était la directrice des programmes, qui lui aurait annoncé la mort de son mari.

Article écrit en collaboration avec 6Medias

Crédits photos : RACHID BELLAK / BESTIMAGE

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