Interviewée par Elle magazine le 24 décembre 2020, Sarah Biasini la fille de Romy Schneider a évoqué sa rencontre avec Alain Delon, qui a été un moment mémorable pour elle.
A propos de
Sarah Biasini
Alain Delon
Romy Schneider
Le 6 janvier 2021, Sarah Biasini sortira un livre intitulé La beauté du ciel, dans lequel elle évoque l’absence de sa mère Romy Schneider, décédée le 29 mai 1982 lorsqu’elle n’avait que 4 ans. La comédienne de 43 ans est devenue maman pour la première fois il y a deux ans, d’une petite fille prénommée Anna Rosalie. Lorsqu’elle est tombée enceinte, après avoir passé dix ans à espérer vivre une maternité, elle a décidé de commencer l’écriture.
Dans son ouvrage, la petite sœur de David Christopher Meyen, mort en 1981, est revenue sur ces nombreuses années passées sans figure maternelle. Il aura fallu attendre le 1er mai 2017 pour que Sarah Biasini ait le déclic et prenne sa plume, au moment où la pierre tombale de Romy Schneider a été profanée. Dans le numéro du 24 décembre 2020 du Elle magazine, la fille de la célèbre actrice parle de son besoin d’écrire son histoire, de son rapport étrange avec sa mère disparue, de son rôle de maman avec son propre bout de chou, mais pas seulement. Auprès de nos confrères, la fille unique du journaliste franco-italien Daniel Biasini a expliqué avoir fait la connaissance d’Alain Delon, qui a partagé la vie de Romy Schneider pendant quelques années, avant qu’elle ne vienne au monde.
Un moment « très joli »
« Notre rencontre s’est faite sur le tard, c’était très touchant, très joli », déclare avec tendresse Sarah Biasini, avant d’ajouter : « Il y a eu un tel truc entre eux ». Afin de se rapprocher d’une certaine façon de sa maman, elle a également rencontré l’ancien scénariste Claude Sautet, qui a collaboré à de nombreuses reprises avec la comédienne, morte à seulement 43 ans. Cela a été « un moment incroyablement chargé, bouleversant ». Ce n’est pas tout puisque la maman de la petite Anna a cherché à connaître Michel Piccoli. « Ils en ont tourné, des films ensemble… Piccoli, c’était la classe, il m’a dit que ma mère, c’était son pote ! Et que, quand elle n’était pas maquillée, on ne la reconnaissait pas. Ce détail m’a beaucoup plu. Car, pour moi, ma mère, c’est une femme lambda… », s’est-elle remémorée.
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE
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