Facebook, Twitter, Instagram… Autant d’outils qu’Alain Chabat adore consulter. En revanche, ne lui demandez pas de se créer des comptes… Il vient d’expliquer pourquoi.

Tête d’affiche du dernier film d’Eric Lartigau #JeSuisLa, Alain Chabat fait la tournée des médias pour vanter son dernier bébé. Des rendez-vous pendant lesquels il n’échappe pas à l’inévitable question concernant son rapport avec les réseaux sociaux, outils très présents dans le film. Ce lundi 3 février, c’est autour de la table de C à vous que l’ex-Nul évoquait son tout premier rapport avec Facebook. « La première fois que j’avais entendu parler de Facebook c’est aux Etats-Unis en 2006, racontait-il. Une camarade avec qui je travaillais m’avait dit c’est super, ça permet aux gens qu’on a perdu de vue de se retrouver mais moi c’est exactement ce qu’il ne me faut pas. Les gens que j’ai perdus de vue je sais pourquoi je les ai perdus de vue.» De plus, le personnage de Marc Zuckerberg lui donnait froid dans le dos. « Il est assez fascinant dans le côté robotique et zéro humanité… » ajoutait-il.

« J’aime bien regarder les réseaux sociaux mais… »

Homme de son temps, Alain Chabat ne rejette pas totalement les nouveaux outils d’aujourd’hui. Dans les pages de L’Obs, ce jeudi 6 février 2020, l’ex-acolyte de Chantal Lauby revient sur le sujet. « J’aime bien regarder les réseaux sociaux, avoue-t-il. Mais poster des trucs perso, non merci. » N’allez pas penser qu’il est ici question de préservation de la vie privée. Rien de tout cela ! « Je ne veux pas mettre le doigt là-dedans, ajoute l’acteur-réalisateur, parce que c’est un jouet très marrant. J’aurais envie de m’en servir comme d’un espace pour créer des conneries avec un équipe d’auteurs. Et une fois le truc lancé, il faudrait nourrir la bestiole. » Des contraintes que l’ex-Nul s’interdit. « Je préfère protéger mon sommeil, conclut-il. Aux Etats-Unis, en même temps que ta filmographie, on te demande désormais combien tu as de followers sur ton C.V. Heureusement, on n’en est pas encore là. » Ne vous réjouissez pas trop vite monsieur Chabat… Ça ne saurait tarder…

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