Ce jeudi sur France 2, Sophie Davant a encore montré que sa réputation d’humour pince sans rire n’était pas volée. L’animatrice d’Affaire Conclue a profité du passage d’un vendeur souhaitant se débarrasser d’un objet très original pour amuser la galerie !

Il y a parfois des objets qui vous inspirent… Ce jeudi après-midi, Sophie Davant a accueilli dans Affaire Conclue un vendeur qui souhaitait se débarrasser d’un objet très particulier, qu’elle n’avait d’ailleurs jamais vu : un chevalet de bardeau. « Alors là, honnêtement… Je n’ai jamais vu cet objet ! » a dû admettre l’animatrice de France 2. Fait assez rare pour être signalé, l’experte en charge d’estimer le prix de vente de l’objet a elle aussi confié avoir dû faire des recherches spécifiques pour faire son travail. Quel était donc ce drôle de chevalet ?

Il s’agit d’un engin artisanal servant à fabriquer des bardeaux, des sortes de petites tuiles que l’on appose sur les toitures et façades des maisons, afin de mieux les protéger de la pluie. Désuète, la technique persiste encore pourtant dans certaines constructions. Le chevalet utilisé pour fabriquer ces tuiles prend la forme d’un banc, l’ouvrier s’assoit d’un côté, et utilise une poignée située de l’autre côté pour débiter les bardeaux. Sur le plateau d’Affaire Conclue, le vendeur, l’experte et Sophie Davant conviennent d’un chose : l’objet mis aux enchères n’est pas d’une utilité folle dans la vie quotidienne… Mais il peut servir de « bel objet de décoration dans une maison de campagne », assure quand même l’animatrice.

Mais un objet qui rapporte gros !

À moins qu’elle n’ait une autre idée en tête… Ou alors, « vous mettez ça au pied d’un lit », souligne Sophie Davant, provoquant l’hilarité de l’experte. Une allusion à la forme de la poignée, qui pourrait être détournée pour un usage que l’on ne citera pas ici. « Non non non, n’allez pas imaginer d’autres utilisations ! Ça n’est pas du tout à quoi je pensais », persiste celle qui a récemment répondu à ceux qui la trouvent trop sèche et cassante. « On peut s’assoir », tente le vendeur, qui n’a pas le temps de développer son idée, qui paraissait pourtant intéressante. « Non non non, je pensais au banc que l’on peut mettre au pied d’un lit, ça n’allait pas au-delà ! » Estimé à 50 euros, le banc sera finalement vendu à 130 euros à Julien Cohen. Pour offrir à son couvreur.

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