Avant la sortie d’un livre choc, Adil Rami revient sur histoire avec Pamela Anderson dans une interview accordée à So Foot. L’occasion d’affirmer qu’il ne l’a « jamais » brutalisée.

L’ancien défenseur de l’Olympique de Marseille Adil Rami prépare actuellement un livre avec la chroniqueuse de TPMP Géraldine Maillet dans lequel il reviendra sur la fin chaotique de sa relation avec Pamela Anderson et ses accusations de violences conjugales. Un ouvrage qui devrait « faire mal » et dont la date de sortie n’a pas encore été dévoilée. Mais le footballeur n’a pas attendu la parution du livre pour donner sa vérité. Dans les colonnes de So Foot, il affirme ne l’avoir « jamais » brutalisée. « J’ai tous les messages sur trois téléphones. Les messages pendant deux ans, ça ne ment pas. Il n’y avait pas un ‘Tu m’as frappée’, que des lettres d’amour, des poèmes…« , assure dans le magazine en kiosque depuis le jeudi 18 juin celui qui explique avoir été dissuadé par son entourage de « réagir publiquement », même si ce n’est pas l’envie qui manquait. « La vidéo qu’elle a postée à l’hôpital, j’ai la même avec son message en dessous : ‘À cause de Danse avec les stars, j’ai une tendinite' », corrige Adil Rami, qui précise avoir « les résultats de son poignet » parce que c’est lui qui l’a amenée à l’hôpital.

Après les accusations de Pamela Anderson, l’association Solidarité Femmes qu’il défendait a décidé de couper les ponts avec lui. Une douleur pour celui qui affirme penser à ça « depuis tout petit ». « C’est en moi. J’ai vu des choses dans les quartiers », explique dans So Foot celui qui indique néanmoins que son foyer n’a pas été confronté aux violences conjugales, son père étant parti très tôt avec une autre femme. Si Adil Rami soutient pas avoir violenté Pamela Anderson, il reconnaît néanmoins qu’entre eux, c’était parfois tendu. « J’ai galéré pendant deux ans à faire comprendre à Pamela que j’étais footballeur. C’était pas mon truc les potins », révèle le joueur de l’OM.

« On s’embrouillait souvent »

« J’ai bataillé pendant deux ans avec Pamela pour ne pas être dans les gossips, parce que ce n’était pas mon monde. J’avais quand même des paparazzis devant chez moi, à Marseille, en plein centre-ville, dans le XVIIIe arrondissement. On s’embrouillait souvent à cause de ça, elle et moi« , admet-il au mensuel. Selon lui, son ex-compagne était « mal conseillée », par des gens à qui il avait donné sa confiance. Une relation très médiatisée qui aurait nui aux rapports qu’il entretenait avec les dirigeants de son club à l’époque. Son entraîneur de l’époque, Rudi Garcia, croyait qu’il avait « pris la grosse tête ».

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