L’ex-femme de l’idole des jeunes évoque des « lettres incroyables » qu’elle a conservées.

Adeline Blondieau n’avait que 19 ans lorsqu’elle a épousé Johnny Hallyday en 1990, du côté de Ramatuelle. La jolie et jeune brunette resplendissait alors dans la sublime robe d’un créateur. Pour cet événement ultra-médiatisé, tout le gratin de la planète people était présent. Mais le mariage a tourné court. Quelques mois plus tard, le couple se séparait…avant de s’envoler se remarier à Las Vegas et… de re-divorcer.

Entre ces deux-là, la vie n’a pas été un long fleuve tranquille, même bien des années plus tard, après leur séparation. En 2015, la comédienne avait même révélé que Johnny Hallyday l’aurait violée alors qu’elle n’était encore qu’une adolescente de 15 ans. Pas étonnant, dans ces conditions, qu’après le décès de Johnny en décembre 2017, son ex-femme ait voulu se débarrasser de divers effets personnels du rockeur lors d’une vente aux enchères. Dans les lots figurait également sa robe de mariée. Mais au bout de quelques jours, Adeline Blondieau décidait de la retirer de la vente. Elle évoque ce revirement dans une interview accordée ce jour à Ici Paris : « Je n’arrive d’ailleurs pas à expliquer pourquoi je l’ai finalement retirée de la vente. Cela m’a fait vraiment plaisir que tout le monde puisse la voir. Elle est tellement magnifique ! Le styliste Gérard Pipart avait fait des merveilles. Il faudrait que cette robe soit exposée et non pas enfermée dans un carton », affirme l’ex-héroïne de la série Sous le soleil que diffusait TF1.

De mystérieuses « lettres incroyables »

Tout en évoquant d’autres sujets, tels que le burn out et la dépression nerveuse dont elle a été victime en 2009, Adeline Blondieau répond ainsi à la question « Vous êtes en paix avec Johnny à présent ? » : « J’ai fait ma paix. Et je suis sereine, je me sens à ma vraie place. » Et elle revient sur un autre souvenir de Johnny Hallyday qu’elle n’a pas voulu mettre en vente. « J’ai encore chez moi une boîte à souvenirs qui contient des lettres incroyables », affirme-t-elle tout en restant très mystérieuse quant au contenu de ces missives. La suite dans une prochaine interview ?

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