Plusieurs candidates de Miss France 2022 ont fait des révélations dans les colonnes du Parisien ce samedi 22 janvier. Elles ont notamment évoqué le salaire qu’elles ont perçu.

L’heure est aux confidences pour les Miss 2022. Dans un article publié ce samedi 22 janvier par le Parisien, les candidates à l’élection Miss France 2022 ont évoqué les dessous de l’émission de TF1, révélant notamment le salaire perçu pour leur participation. Pour la première fois cette année, en effet, "les reines de beauté ont signé un contrat de travail", souligne le Parisien. Et comme tout travail mérite salaire, celles-ci sont reparties avec une petite somme en échange de leurs efforts pour assurer l’incroyable cérémonie ayant pour thème les comédies musicales.

"On a été payées 84 euros par jour, soit 252 euros net en tout, révèle l’une des concurrentes, qui a préféré rester anonyme, dans les colonnes du quotidien. L’équivalent du smic. C’est vraiment symbolique" a-t-elle poursuivi. Cette rémunération, dont le montant a été confirmé par la production, englobe le jour de l’élection ainsi que les deux journées de répétition tenues au Zénith de Caen, dans le Calvados.

Un salaire qui fait jaser

À hauteur du salaire minimum, le cachet touché par les Miss divise dans les rangs mêmes des reines de beauté. Certaines, comme Ambre Andrieu, Miss Aquitaine, se réjouissent d’avoir passé "une semaine paradisiaque à la Réunion" et "gagné en aisance devant les caméras et en public". D’autres, comme Gwenegan Saillard, Miss Champagne-Ardenne 2020, considèrent la rémunération un peu trop basse pour l’implication que demande le concours. "Pourquoi nous rémunérer uniquement sur trois jours ?, s’interroge-t-elle auprès de nos confrères. Le contrat devrait couvrir tout le mois où on se rend disponible, où on met nos études, nos jobs, nos vies de côté."

Du côté de la production, Alexia Laroche-Joubert est catégorique. Miss France est avant tout un concours. "Miss France est un concours et le contrat proposé pour des trois derniers jours relève d’une grande avancée, souligne la productrice, confiant ne "pas vouloir allonger la durée de celui-ci. Cela ne correspond pas à nos valeurs et les motivations des candidats ne seraient plus les mêmes. Pour cela, elles peuvent faire les Marseillais ou les Ch’tis." Voilà qui est dit.

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