Dans son édition du 20 au 26 janvier, Paris Match s’est plongé dans l’intimité de Diane Leyre. De son enfance à son parcours de reine de beauté, en passant par sa vie amoureuse, ses engagements et ses complexes, Miss France 2022 se dévoilent à cœur ouvert dans ce portrait aux allures de confidences entre copines.

Reine de beauté ou non, les complexes n’échappent pas aux femmes du monde. Élue Miss France 2022 il y a peu, Diane Leyre amorce son année de règne exposée au grand public. De ses engagements à ses projets à venir, sans oublier ses confidences personnelles, elle s’exprime sans détour dans la presse française. Et si sa beauté est désormais mise en avant, plus jeune, les complexes étaient nombreux. « Trop grand, trop maigre, j’étais complexée », confie-t-elle dans les colonnes de Paris Match. Et d’ajouter : « J’ai tout entendu : « planche à pain », « visage écrasé », « tête à pizza ». Mes amies avaient des petits copains, moi, j’étais le clown de l’école, la bonne copine. »

Avant de fouler les podiums avec l’espoir d’atteindre les sommets, Diane Leyre a lutté contre ses démons. « Plus jeune, j’étais incapable de passer un coup de fil. J’étais gênée de faire les choses, gênée de demander. Embarrassée de moi-même, de m’imposer« , se souvient celle qui a pour objectif de faire oublier « son physique » cette année. « Ok, j’ai montré que j’arrivais à gagner ce concours de beauté, mais j’ai un an pour vous démontrer ce qu’il y a derrière« , ajoute la jeune femme dont la beauté déclenche « des hostilités ».

⋙ Découvrez Diane Leyre, Miss France 2022.

Diane Leyre : « Quand on est beau, on nous donne moins de crédibilité »

S’il est commun de penser que la beauté n’apporte que du positif, il n’en n’est rien. « Ça peut déclencher une hostilité. Quand on est beau, on nous donne moins de crédibilité, on a dans l’idée qu’on n’est que ça. On doit toujours prouver qu’on est autre chose. C’est le travail d’une vie« , dévoile la reine de beauté qui a toujours été « mal à l’aise avec son physique ». « Je parle beaucoup, avec les mains pour détourner le regard de l’autre, pour qu’on m’écoute, pour qu’on me regarde moins« , révèle-t-elle avant de conclure par ces mots : « Moi, j’aimerais que quand on parle de moi, on parle d’autre chose. »

Crédits photos : Edward Tur via Bestimage

Autour de

Source: Lire L’Article Complet