Le prince Harry veut payer lui-même sa protection policière et celle de sa famille lorsqu’il vient au Royaume-Uni… mais c’est impossible ! Le petit-fils de la reine Elisabeth II a toujours affirmé qu’il ne comptait plus demander un centime au contribuable lorsqu’il retournait dans son pays d’origine, depuis qu’il a emménagé aux Etats-Unis avec sa femme
Meghan Markle. Il demande donc une révision judiciaire d’une décision du ministère de l’Intérieur l’empêchant d’obtenir une protection policière pour lui et sa famille lors de ses séjours au Royaume-Uni. « Scotland Yard n’est pas disponible à louer », pouvait-on lire ce week-end dans le Daily Mail, qui citait une source du ministère.
« Le duc et la duchesse de Sussex financent personnellement une équipe de sécurité privée pour leur famille, mais cette sécurité ne peut pas reproduire la protection policière nécessaire pendant leur séjour au Royaume-Uni. En l’absence d’une telle protection, le prince Harry et sa famille ne sont pas en mesure de rentrer chez eux », a répondu le camp du prince, qui insiste sur le fait qu’il veut lui-même régler de sa poche tous les frais liés à sa sécurité.
Pas satisfaisant
Les avocats du prince Harry ont donc annoncé qu’ils n’hésiteraient pas à présenter l’affaire devant la Haute Cour si le ministère de l’Intérieur n’accédait pas à sa demande. Cette décision n’arrive pas de nulle part, puisque le fils du prince Charles est en discussions avec les ministres depuis deux ans pour essayer de trouver une situation satisfaisante.
Le prince Harry et Meghan Markle ne sont toujours pas retournés en Angleterre depuis la naissance de Lilibet, leur deuxième enfant, qui n’a donc pas encore rencontré son illustre arrière-grand-mère,
Elizabeth II, et son grand-père, le futur roi
Charles. Si le couple laisse entendre que c’est pour des raisons de sécurité que la famille est ainsi séparée, le Daily Mail rappelle que si le duc de Sussex et son épouse venaient rendre visite à leur famille, ils bénéficieraient automatiquement de la protection réservée à la monarque et à son entourage.
« Le problème serait de savoir s’ils veulent entreprendre ailleurs des activités commerciales, caritatives ou sociales potentiellement lucratives », conclut le tabloïd.
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