Le commentateur star de TF1, dernier vainqueur du jeu de culture générale Le Grand Concours, qui revient samedi 15 janiver à 21 h 10 sur TF1, se confie sur l’année à venir. Et livre, côté football, son ressenti sur l’équipe de France.
Êtes-vous arrivé dans Le Grand Concours avec la pression du tenant du titre ou la décontraction de celui qui a déjà fait ses preuves ?
Grégoire Margotton : J’opte pour la deuxième solution ! Des émissions de TF1 que je regardais, c’est l’une de celles qui m’ont toujours fait rire. Là, j’y suis revenu parce que c’était au profit de l’opération Pièces jaunes. Sinon, je n’y serais peut-être pas retourné. Car le résultat final n’est pas très important.
Ce tournage vous a-t-il donné l’occasion de parler ballon rond avec Didier Deschamps, parrain des Pièces jaunes ?
Oui, d’autant que je planche sur un projet en 2022… Je prépare un documentaire comparable à 98, secrets d’une victoire, que j’avais réalisé en 2018. Il sera diffusé juste avant la Coupe du monde et sera en grande partie centré sur Didier Deschamps.
Selon vous, l’équipe de France a-t-elle un supplément d’âme depuis le retour de Karim Benzema ?
Benzema est un homme et un champion au service des autres et de lui-même. Il amène de la sérénité et de la hauteur. Il n’a pas besoin d’être capitaine ou de crier très fort pour peser. Et l’équipe a fait un saut qualitatif grâce à lui. Quand il prendra sa retraite, on se rendra sûrement compte qu’il n’a pas beaucoup d’équivalents dans le football hexagonal. Il a tout gagné sauf la Coupe du monde, qui pourrait couronner sa carrière d’une façon exceptionnelle.
Vous dites vouloir exercer le journalisme jusqu’à 75 ans. Ce métier est-il un carburant essentiel pour vous lever le matin ?
Non. J’ai cinq enfants et même sans ça, j’aurais de quoi accomplir de très belles choses dans ma vie. Mais ça fait presque trente ans que je l’exerce. J’aime ça, notamment le fait de raconter des histoires et de prendre des avions vers des destinations lointaines. Alors tant que je pourrai continuer, je le ferai…
Le quotidien d’un père de famille nombreuse a-t-il des points communs avec celui d’un entraîneur de foot ?
Non, je ne suis quand même pas du genre à mettre un cardiofréquencemètre à mes filles quand elles vont au parc. Le seul point commun entre les deux, c’est d’avoir un peu d’autorité sur elles… de temps en temps !
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