Parce qu’on a aussi droit à un petit retour en arrière sur les moments les plus déprimants, voici la liste des pires moments de 2021 dans l’industrie du jeu vidéo.

Forcément, puisqu’on a abordé les meilleurs moments du JV de 2021, il semblait logique qu’on s’attaque ensuite aux pires. Le spectre de la pandémie à planer sur nos vies et sur toute l’industrie du jeu vidéo cette année encore et beaucoup des points que l’on va aborder sont impactés de loin ou de près par cette dernière. Mais on peut aussi compter sur des éditeurs peu scrupuleux ou qui ne respectent pas leurs employés pour enrichir cette petite liste.

10. Le lancement de Balan Wonderworld

Après des mois de teasing, le jeu s’est avéré être une catastrophe sur tous les plans, vendu en plus au prix de 60 euros. S’il y a bien un jeu qui a été un naufrage de sa présentation dans un Nintendo Direct jusqu’à sa sortie officielle et même après, c’est celui-là.

9. Les présentations du vide

Cette année, on a eu droit à bien trop de Nintendo Direct ou autres présentations en ligne qui étaient hypés par les éditeurs, pour au final proposer des choses qui manquaient cruellement de rythme et de dynamisme, au-delà de tout ce que l’on peut penser des jeux présentés. Des traversées du désert pas super agréable à vivre à chaque fois.

8. L’affaire de la trilogie GTA

On en a déjà un peu parlé dans les déceptions de l’année, mais Rockstar qui retire des stores les jeux originaux pour tenter de maximiser les ventes de sa trilogie à venir, c’était vraiment une pratique pas terrible. En plus le jeu s’est avéré être catastrophique au lancement donc ça n’a pas aidé.

7. Les anniversaires de The Legend of Zelda et Metroid

Cette année, les deux licences de Nintendo ont célébré leurs 35 ans. Et si Mario avait eu droit à un bel anniversaire l’année précédente, on ne peut pas en dire autant des deux autres, qui n’ont pas vraiment eu droit à une aussi belle célébration. Un peu décevant pour les fans de Link et Samus.

6. L’E3 2021

Forcément, le covid étant toujours présent, on ne s’attendait pas à ce que l’E3 2021 soit le grand moment qu’il a l’habitude d’être chaque année. Et ça n’a encore une fois pas manqué avec des conférences très inégales et peu d’annonces qui ont marqué les esprits. En espérant que l’année prochaine sera un meilleur cru.

5. Le joy-con drift

Malgré la sortie de la Switch OLED, il est toujours là tapi dans l’ombre, prêt à rendre notre manette inutilisable. Et ce n’est pas les nombreuses déclarations de Nintendo pour nous dire qu’ils ne peuvent pas y faire grand chose qui va le faire disparaître. On se donne rdv l’année prochaine pour le revoir dans cette même liste.

4. Les reports à gogo

On sait très bien que le covid rend tout plus compliqué, mais c’est toujours un peu frustrant et décevant de voir un jeu qu’on attendait à mort être reporté et il y en a eu beaucoup cette année. Ceux qui envoient des menaces aux développeurs sont bien pires que ces retards qui ont caractérisé cette année 2021 et qui s’étendre sur 2022.

3. Les jeux pas finis

Ce n’est pas vraiment spécifique à 2021, mais il y a bien pire que les reports : les jeux qui ne sortent pas terminés. On se dit de plus en plus qu’il vaut mieux attendre quelques semaines ou mois avant de jouer à certains jeux et c’est triste que ça soit devenu quelque chose d’habituel.

2. Les pénuries et les scalpers

Encore une conséquence directe de la pandémie qui continue encore aujourd’hui à faire chier. Les pénuries de composants nécessaires à la fabrication de puces pour la PS5, les cartes graphiques et autres à créer une guerre sans merci entre les consommateurs pour réussir à mettre la main sur le Graal. Alors quand en plus, des enfoirés avec des bots raflent les stocks pour les revendre, ça devient un grand bordel.

1. Le cas Activision/Blizzard

Difficile de tout résumer en quelques lignes, mais il ne s’est pas passé une semaine sans que l’on entende parler d’une sale histoire chez Activision Blizzard. Entre la fermeture des bureaux européens en plein covid, les agressions sexuelles dissimulées, la fuite massive d’employés clés de chez Blizzard et les tentatives de la direction pour museler la grogne, l’éditeur s’est totalement effondré. Malgré un appel au boycott de plus en plus vocal chez les joueurs, l’entreprise a encore fait un excellent chiffre d’affaires et son PDG a reçu un nouveau bonus monstrueux pour ça.


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