Le 19 décembre 2015, soit il y a six ans en arrière, Madame Claude s’est éteinte. La plus célèbre proxénète des trente glorieuses avait dans son carnet d’adresse de nombreuses personnalités, dont un président : John Fitzgerald Kennedy. Découvrez sa demande étonnante faite à la mère maquerelle.

Cette demande surprenante de John Fitzgerald Kennedy. Comme d’autres homme politiques, l’ancien président à fait appel aux services de Madame Claude. Fernande Grudet, de son vrai nom – disparue le 19 décembre 2015 – gérait un réseau de proxénétisme. Ses “filles”, comme elle aimait les appeler, ne se prostituaient pas. Pour elle, il s’agissait davantage de « de bons services” qui contribuaient à “rendre le vice joli. » Parmi ses clients, figurait le nom de John Fitzgerald Kennedy.

Le “Tout-Paris” se glissait dans ses lits. L’ancien président des États-Unis, assassiné le 22 novembre 1963, est loin d’être une exception donc. Il s’est abandonné aux plaisirs charnels comme d’autre de ses confrères. Sauf qu’avant de commettre cet adultère lors d’une visite officielle à Paris en 1961, John Fitzgerald Kennedy a fait une demande bien précise à la mère maquerelle. Ce dernier exigeait « le sosie de son épouse Jackie ’en plus libérée’. » Une demande surprenante !

Madame Claude : Gianni Agnelli, l’ancien patron de Fiat, un client fidèle

Certains noms de ses clients ont été emporté avec elle dans sa tombe. Excepté ceux de John Fitzgerald Kennedy, du Shah d’Iran et de Giovanni Agnelli, ancien copropriétaire et dirigeant de la société Fiat. D’ailleurs, à propos de ce dernier, l’une des « filles » de Madame Claude a vécu une histoire avec. Il s’agit de Patricia Herszman. Un jour, sur un coup de tête, la jeune femme s’est envolé avec lui direction l’Italie, comme elle l’a raconté au micro d’Europe 1 en avril 2021. « Nous, on était tous les deux en train de faire les fous, à se balader dans les champs et à faire des choses toutes simples qu’il n’avait pas le temps ni l’occasion de faire » s’est-elle remémorée nostalgique de cette époque. Avant d’ajouter émue : « Il n’avait personne autour de lui avec qui il puisse partager ce genre de laisser-aller, de lâcher-prise. Avec moi, il se sentait bien. Il disait toujours qu’avec moi, il avait l’impression d’avoir vingt ans. » Une histoire amico-sentimentale que Patricia Herszman n’oubliera jamais !

Crédits photos : sipa

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