À l’occasion de son premier numéro du Grand Échiquier, diffusé le 20 décembre 2021 sur France 3, Claire Chazal a ouvert les portes de son appartement à Paris Match, pour son édition du 9 décembre. La journaliste en a profité pour évoquer ses relations amoureuses tumultueuses.
- Claire Chazal
- Patrick Poivre d'Arvor
Un rendez-vous qui lui va bien. Lundi 20 décembre 2021, à quelques jours de Noël, Claire Chazal fera son grand retour en prime time dans Le Grand Échiquier sur France 3. L’ancienne présentatrice du JT de TF1, évincée de la chaîne depuis maintenant six ans, anime chaque jour l’émission Passage des arts sur France 5. C’est donc tout naturellement que France Télévisions a pensé à elle pour reprendre les rênes d’une émission culturelle vieille de 50 ans. Dans le nouveau numéro de Paris Match, paru le 9 décembre, l’ex-compagne de Patrick Poivre d’Arvor, qui a affirmé son soutien au journaliste face aux accusations de viols et agressions sexuelles dont il fait l’objet, revient sur les grands chapitres de sa vie. Elle évoque notamment ses histoires d’amour tumultueuses, dont elle reconnaît aujourd’hui une certaine emprise…
« Il m’est arrivé de regretter certaines relations… »
En amour ou en amitié, Claire Chazal a besoin d’admirer, d’être subjuguée par l’être aimé… quitte à en perdre les pédales. « On peut être attirée par le pouvoir, aimer admirer, aimer être impressionnée. Ça procède de la séduction. Une femme peut être amoureuse de cette domination. Je l’ai vécu« , explique la journaliste de 65 ans. Et d’ajouter en toute transparence : « C’est une forme d’emprise. » À ce sujet, Claire Chazal a d’ailleurs tiré leçon de certaines erreurs du passé : « Il m’est arrivé de regretter certaines relations… C’est tout le mystère du couple, de la vie à deux, du désir », a-t-elle conclu. Fait-elle référence à son histoire d’amour avec le père de son fils, Patrick Poivre d’Arvor ? Mystère.
Dans la même interview, Claire Chazal est interrogée sur les récentes accusations de viol et agressions sexuelles dont Nicolas Hulot est la cible. Un sujet compliqué pour l’ancienne présentatrice du JT qui connaît (très) bien l’ancien ministre chargé de la Transition écologique : « Je le connais depuis toujours… Je n’en sais rien. Il n’y a pas eu de jugement », répond-t-elle à Paris Match, après « un soupir ». Et pour cause, si Claire Chazal affirme être « féministe absolument », elle souligne cependant la « zone grise du consentement », peut-on lire. Et de conclure : « On peut tenir tête à n’importe qui ! On n’est pas plus bêtes ! ».
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