Cédric Jubillar reste en prison, près de Seysses à Toulouse, ce lundi 22 novembre 2021. Une fois de plus, la demande de remise en liberté du mari de Delphine Jubillar a été rejetée par la justice. Il s’agissait de sa quatrième demande, révèle Le Parisien

Toujours le suspect numéro un. Pas de remise en liberté pour Cédric Jubillar qui espérait enfin rentrer chez lui, dans sa villa en chantier, à Cagnac-les-Mines. Ce lundi 22 novembre 2021, la justice a une nouvelle fois rejeté la quatrième demande de libération du père de famille. Désemparés, ses avocats dénoncent une « détention provisoire abusive« , révèle Le Parisien. Si la « présomption d’innocence est bafouée », selon eux, sa culpabilité ne fait pas de doute pour les enquêteurs de la section de recherche.

D’après nos confrères, la justice détient suffisamment « d’éléments dans son dossier pour justifier son maintien à la maison d’arrêt ». Notamment des « indices graves et concordants« , bien qu’aucunes preuves ne permettent, pour l’heure, d’affirmer sa culpabilité. Suspecté du meurtre son épouse, Delphine, portée disparue depuis la nuit du 15 au 16 décembre 2020, Cédric Jubillar est maintenu en détention depuis le 18 juin dernier, à la maison d’arrêt de Seysses, non loin de Toulouse.

Delphine Jubillar introuvable depuis dix mois

D’abord mis en examen pour homicide volontaire, le père de famille a depuis été placé à l’isolement. Si le peintre-plaquiste maintient son innocence, le corps de son épouse, infirmière dans le Tarn, demeure introuvable depuis près de onze mois. Les recherches se poursuivent, près d’un an après sa disparition brutale.

Crédits photos : capture Facebook

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