Lily-Rose Depp s’est exprimée auprès du «Sun» pour le numéro du samedi 30 novembre 2019, à propos de l’éducation très tolérante qu’elle a reçu de la part de ses deux illustres parents, Johnny Depp et Vanessa Paradis.
S’il est vrai que la Lily-Rose Depp a grandi dans un univers glamour rempli de paillettes, elle a toutefois reçu une très bonne éducation de la part de ses célèbres parents, Johnny Depp et Vanessa Paradis. La jeune femme de 20 ans a donné des détails inédits sur son enfance pour le numéro du samedi 30 novembre 2019 du journal britannique «The Sun».
«Mes parents n’étaient pas vraiment stricts, a-t-elle commencé. Ils m’ont toujours fait confiance pour être indépendante et prendre mes propres décisions. Il n’y avait pas grand-chose contre quoi se rebeller». La jeune actrice a poursuivi en confiant qu’elle souhaite suivre l’exemple de ses parents : «Ils avaient tous les deux 15 ans quand ils ont quitté l’école, donc ils ne peuvent rien me dire à ce sujet. Je n’ai jamais envisagé l’université comme une option». Et pour cause : Lily-Rose ne souhaite qu’une chose, être dans la vie active : «Tout ce que j’ai toujours voulu, c’est travailler. Je n’avais pas la motivation de continuer à faire tout ce travail scolaire».
La jolie blonde semble déjà parvenir à ses fins malgré son jeune âge : après avoir interprété la jeune prodige Isadora Duncan dans «La Danseuse» en 2016, elle prête désormais ses traits à Catherine de Valois pour le film Netflix «Le Roi», aux côtés de Thimothée Chalamet et de Robert Pattinson. En plus de son succès sur le grand écran, la jeune femme a également un pied dans la mode, notamment avec son statut d’égérie pour Chanel, comme sa mère l’avait été auparavant. Lily-Rose est toutefois le plus jeune mannequin à avoir été le visage du parfum N°5.
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Petite, « je voulais être comme ma mère »
Avant de briller dans le cinéma et la mode, la jeune franco-américaine rêvait d’abord de devenir chanteuse, comme sa mère : «Quand j’étais petite, je voulais être chanteuse parce que je voulais être comme ma mère, a-t-elle continué. Toutes les petites filles veulent être comme leurs mères… Je passais mon temps à essayer toutes ses robes et ses chaussures, même si j’étais encore en couche-culotte à l’époque».
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L’éternelle interprète de «Joe le Taxi» veillait toutefois à préserver l’enfance de sa fille : «Elle est très naturelle, a expliqué Lily-Rose. Donc elle me dirigeait vers cette direction. C’est drôle parce que je voulais porter du maquillage même quand j’étais bien trop jeune pour en mettre, surtout à l’école. Mais la première fois que ma mère m’a donné du maquillage que j’étais autorisée à porter, je devais avoir 12 ou 13 ans. Je l’ai encore!».
Une enfance entre Los Angeles et la France
Vanessa Paradis avait rencontré Johnny Depp en 1998 lors d’une soirée entre amis, alors qu’elle sortait d’une relation de cinq ans avec le rockeur Lenny Kravitz. Après s’être rapidement installés ensemble, les deux stars ont eu Lily-Rose en 1999 puis leur second enfant, Jack, en 2002. Ballotés entre Los Angeles et la France, les deux enfants de la famille Depp-Paradis ont vite assimilé les deux langues : «Je me sens connectée à mes racines françaises et américaines, a confié Lily-Rose. Je me sens très chanceuse de pouvoir parler les deux langues et de pouvoir faire des films français ou américains».
Après cette enfance dorée au sein d’une famille aimante et ouverte d’esprit, la jeune star a dû faire face à la séparation de ses parents très médiatisée en 2012. Son père avait alors épousé l’actrice Amber Heard en février 2015, qu’il avait rencontrée sur le tournage du film «Rhum Express». Cette dernière avait demandé le divorce en août 2017 après l’avoir accusé de violences conjugales.
Lily-Rose Depp, ravie d’avoir été « punie » par ses parents
Malgré la rupture de la star de «Pirates des Caraïbes» et de l’interprète de «Divine Idylle», leur aînée se dit reconnaissante envers ses parents d’avoir continué à la «punir» normalement : «Je pense que c’est très important d’avoir un bon soutien autour de soi et d’être punie par ces personnes». Pour elle, il ne fait aucun doute que ses «parents ont fait du bon travail en (lui) donnant à (elle) et à (son) frère l’éducation la plus privée et intime qu'(ils pouvaient) avoir».
Sa nouvelle vie à New York continue a être rythmée selon les principes de son éducation : «Je garde ma vie aussi privée que je le peux. (…). Je ne suis pas une amatrice de boîtes de nuit. Je suis une personne très cool. J’aime bien rester à la maison. Honnêtement, je passe mon temps à regarder des émissions de cuisine», a-t-elle conclu.
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