Dans une interview pour le magazine Closer, Carlos Sotto Mayor affirme que la relation qu’elle a entretenue avec Jean-Paul Belmondo dans les derniers mois de sa vie était « platonique ».
Ils se sont aimés d’une passion dévorante, volcanique. Des décennies plus tard, Carlos Sotto Mayor et Jean-Paul Belmondo se retrouvent, et renouent une relation aux contours particuliers, que Carlos Sotto Mayor qualifie dans Closer de « platonique« . La dernière compagne de l’iconique acteur, qui a publié le 22 septembre un livre sur sa relation avec « Bébel » revient dans l’hebdomadaire sur la forme que prenait leur relation dans ses derniers moments. « C’était une amitié profonde, avec beaucoup d’amour, mais un amour platonique« , détaille Carlos Sotto Mayor.
Malgré les années qui passent, et la rupture en 1987, l’acteur a toujours eu une place spéciale pour Carlos Sotto Mayor : « Vous savez, mes sentiments envers lui ont toujours été très forts, même après notre rupture. Encore aujourd’hui, ils sont intacts, même s’il n’est plus là. C’est quelqu’un qui a tellement compté dans ma vie« , admet-elle. Car au-delà de leur relation amoureuse, sa proximité avec Jean-Paul Belmondo lui a permis de vraiment commencer sa carrière, en lui permettant de tourner à ses côtés en 1983 dans le film « Le Marginal« . Ce rôle majeur joué par l’acteur, Carlos Sotto Mayor le reconnaît sans fards : « Tout ce que j’ai appris sur la culture française, sur votre cinéma et votre langue, c’est grâce à Jean-Paul.«
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« On a parlé pendant des jours de ce qu’on avait vécu »
Il n’a donc pas été très difficile pour la chanteuse brésilienne de refaire une place dans son cœur pour « son homme de Rio« , quand leurs chemins se croisent, en 2020. « Quand on s’est retrouvés, on a parlé pendant des jours et des jours de tout ce qu’on avait vécu ensemble, c’était très émouvant. » Un retour de flamme, dont elle se souvient presque comme d’une lune de miel : « C’était un peu notre dolce vita. Jean-Paul était alors sublime, il semblait avoir rajeuni de vingt ans« .
Et elle se sent tellement bien à ses côtés, que la quinzaine de jours se transforme en une demi-année de vie partagée : « Pendant près de six mois, pour être avec lui, j‘ai mis ma vie professionnelle entre parenthèses. Au départ, je devais rester quinze jours avec lui, mais il n’a pas voulu que je m’en aille. Alors je lui ai dit : « Tant que tu as besoin de moi, je serai là« , révèle-t-elle. Jusqu’au bout, elle aura apprécié le charme de ce grand amateur de femmes, qui n’était pourtant pas dragueur : « C’était un séducteur, mais pas un dragueur. Il avait tellement de charme qu’il en était forcément séduisant. Je dirais que c’était un séducteur malgré lui. Envers et contre lui, le Magnifique était aussi un amoureux de l’amour, qu’importe sa forme.
Crédits photos : RINDOFF-PATERSON / BESTIMAGE
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