Samedi 25 septembre 2021, Reuters a révélé que la princesse japonaise Mako allait abandonner son titre et verser une somme conséquente pour pouvoir s’unir à son fiancé, rejeté par la famille impériale.
Au Pays du Soleil Levant, l’histoire d’amour de Mako, la princesse japonaise, avait démarré comme dans un conte de féés. Celle qui s’apprête à fêter ses trente ans, à la fin du mois d’octobre, avait annoncé ses fiançailles avec Kei Komuro en 2017, un de ses camarades de l’Université chrétienne internationale. Malheureusement, depuis, le couple patauge. Le mariage rêvé est retardé depuis quatre ans à cause de controverses entourant le compagnon de la petite-fille de l’empereur Akihito. Des différends financiers qui diviseraient la famille du futur marié sont évoqués mais ce n’est pas tout. Pour qu’ils puissent s’unir, la fille de l’héritier présomptif de la couronne japonaise devra renoncer à son statut. Après des années d’hésitation, la jeune femme s’apprête à verser 852.000 euros comme l’a annoncé Reuters, samedi 25 septembre. Un paiement demandé aux membres de la famille royale qui abandonnent leur titre pour épouser des roturiers.
La loi japonaise sur la succession royale, réservée aux hommes, impose aux femmes de la maison impériale de payer une compensation financière pour pouvoir s’unir à un homme qui n’est pas issu de la noblesse. L’agence de presse officielle de la famille n’a pas désiré commenter ces dernières révélations, a indiqué Reuters. De son côté, la chaîne publique japonaise NHK rapporte qu’une date de mariage devrait être annoncée dès le mois prochain.
Le prix à payer pour avancer ?
Après les noces, Mako d’Akishino et Kei Komuro prévoiraient de déménager ensemble aux États-Unis, selon cette même source nippone. Au Japon, la princesse est considérée comme une icône, sa cote de popularité la rapprochant de celle de Kate Middleton outre-Manche. Son futur conjoint est, lui, connu pour être à la fois violoniste et cuisinier. Un couple dynamique et résolument moderne !
Article écrit en collaboration avec 6Medias.
Crédits photos : Aflo / Bestimage
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