Vendredi 3 septembre 2021, presque un an jour pour jour après la mort d’Annie Cordy, sa nièce a accepté de se confier dans les colonnes de France Dimanche. Michèle Lebon a ainsi raconté, avec une grande émotion, les derniers instants de la chanteuse.

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Voilà déjà un an que le public a dit adieu à Annie Cordy. Décédée le vendredi 4 septembre 2020 à l’âge de 92 ans, des suites d’une crise cardiaque, la chanteuse a laissé derrière elle bon nombre de fans endeuillés. Sans enfant et veuve de son mari François-Henri Bruneau depuis 1989, l’interprète de Tata Yoyo n’avait que très peu de famille. Elle était toutefois très proche de sa nièce, Michèle Lebon, la fille de sa sœur aînée, Jeanne. C’est d’ailleurs cette dernière qui avait pris la parole lors de ses obsèques à Cannes : “Tu es mon exemple de modestie, de discrétion, de générosité. Tu m’as épatée par ta sagesse, ton bon sens et ton incroyable lucidité. […] Tu guideras chacun de mes pas, chacun de mes actes. J’espère être digne de ta grandeur d’âme”, déclarait-elle ainsi dans son discours. Un hommage aussi magnifique que bouleversant. Vendredi 3 septembre 2021, presque un an jour pour jour après la disparition de sa “seconde maman”, l’unique nièce d’Annie Cordy a accepté de se confier dans les colonnes de France Dimanche.

“Ça s’est arrêté net, exactement comme elle le souhaitait”

C’est avec une grande émotion que Michèle Lebon est revenue sur les derniers instants de vie de sa marraine adorée : “Elle était parfaitement bien, avant son malaise soudain, se souvient-elle. “Ce qui a été brutal, pour moi en tout cas ; car pour elle, c’était parfait. Ça s’est arrêté net, exactement comme elle le souhaitait”, révèle ensuite celle qu’Annie Cordy avait pour habitude de surnommer Mimi. Et d’ajouter : “Elle disait toujours en plaisantant : ‘Un jour, je serai morte et je ne m’en serai pas rendu compte !’

Un an après la mort d’Annie Cordy, sa nièce parvient enfin (la plupart du temps) à “calmer [son] chagrin”. Elle se réconforte en pensant aux centaines de moments passés ensemble, notamment à scruter les étoiles sur leur terrasse de Vallauris, dans les Alpes-Maritimes, où elles vivaient toutes les deux. “Ça ne s’explique pas, mais j’ai souvent l’impression qu’elle est là, qu’elle me guide. Ça peut paraître bizarre, mais je m’accroche à ça. Je sens sa présence et ça m’apaise”, a finalement confié Michèle Lebon à nos confrères.

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